Et on se réveille toujours.
Avec l'obligation d'accepter cette réalité qui nous attend depuis des heures et qui nous accompagnera jusqu'au prochain sommeil.
Comme la meule de pierre au cou des prisonniers de la Roche Tarpéienne.
Poussés par les soldats romains du haut du précipice.
Le cou brisé par la lourde pierre bien avant de s'écraser sur les autres roches pointues tout en bas. Comme les malchanceux. Criminels, émeutiers, empoisonneuses, avorteuses, sorcières, toutes ces sorcières maudites par les dieux. Et les déficients mentaux, infirmes.
Avec quelques politiciens corrompus ET malchanceux.
La meule de pierre devait être folklorique ou ne devant servir que dans les grandes occasions. Pour des malchanceux de grandes dimensions ou d'une vaste surface sociale comme on dit.
L'équivalent du président de Corée du Nord qui fait manger par les chiens son mentor, ami de son père et beau-père.
Quant aux meules de pierre...
Mais l'image restait.
