Et il faut penser.
Si on pouvait s'arrêter volontairement.
S'il y avait un interrupteur.
Il n’y a rien du comment qui ne puisse s’imaginer et se faire avec la science et la technique adéquate.
Que quelques personnes trouvent cette trame narrative cousue de fils blancs, remplie de clichés n’a aucune importance puisqu’ils seront toujours une minorité.
Certains voient la tapisserie de face -avec les jolis dessins, les belles dorures, les nuances de couleurs, les tissages de fils colorés si charmants, les formes exquises.
Des philosophes religieux ont comparé la réalité accessible aux humains à une tapisserie des Gobelins. Il y a la beauté de certaines formes. L'inquiétante présence d'autres formes. Et la séparation de chacune. Les frontières entre les formes qui les définissent, les encerclent, les réfrènent.
Mais il n'est permis à la la plupart que de voir l'arrière de la tapisserie. Où rien ne semble avoir de sens. Alors quel le chaos et le désordre est la norme.
Seuls les morts, élus de Dieu, verraient à la façon de Dieu, enfin, l'image de face de la tapisserie où tout a un enfin un sens. Tout avait un sens comme on le leur avait dit mais il leur était impossible de le voir. À cause de leur infirmité humaine. Leur manque de vision. Étant à un stade d'existence inférieure à celle des anges. Humain infirme, jadis, enfin sauvé. Il leur serait permis de voir le sens de leur vie. Celui de leur vie qui s'entremêle à celles des autres qui les pénètrent simultanément. Aucune vie n'étant isolée et inutile.
Cette métaphore du Salut a encouragé bien des misérables humains à supporter cette vie jusqu'au bout.
Mais on peut voir l'idée de la tapisserie autrement. Non pour un usage céleste mais humain. Pratique.
Et tout est encore une fois à l'envers.
La réalité n'existant que par les images et les mots des médias et de la publicité qui remplacent ceux des professeurs dont le but est de donner une image acceptable de la planète et du pays où l'enfant devra vivre. Il devra trouver sa place, faire son trou, être utile, attendre son tour au supermarché du travail avec d'autres produits similaires à lui.
Parce qu'il n'y a pas d'autre vie.
Le spectacle dans lequel ils doivent jouer.
Tout a un sens. Il y a des images qui pourraient être meilleures mais il n'y en pas d'autres à leur disposition. Ou elles coûtent plus cher et ils n'en ont pas les moyens. Puisque l'$ dans ce monde est la mesure de tout.
D'autres, simples humains, non des anges, mais d'une variété complexe des possibles chez les humains. Ils voient le dos, l'arrière de la tapisserie. Les fils qui s'entrecroisent. Les maladresses. Le n'importe quoi.
Et les liens.
Tout ce qui est invisible à l'oeil et que l'on déconseillera de regarder.
Car le monde est fait pour les aveugles et les sourds et les idiots.
Encore une fois la réalité est retournée.
Quoi faire lorsqu'on voit ainsi?
La fable du roi nu l'explique bien.
Il ne s'agit pas de rire du roi et de sa naïveté car le roi déteste que l'on souligne sa stupidité. Il n'aime que les flatteurs et les publicitaires. Et il tue.
La possibilité que le roi tue s'il est contrarié doit toujours être prise en compte.
Ce qui fait que le conte est réservé aux enfants. Les adultes qui les lisent pour eux savent bien que tout est faux. Mais que pourraient-ils faire?
Désespérer !
Certains voient la tapisserie de face -avec les jolis dessins, les belles dorures, les nuances de couleurs, les tissages de fils colorés si charmants, les formes exquises.
Des philosophes religieux ont comparé la réalité accessible aux humains à une tapisserie des Gobelins. Il y a la beauté de certaines formes. L'inquiétante présence d'autres formes. Et la séparation de chacune. Les frontières entre les formes qui les définissent, les encerclent, les réfrènent.
Mais il n'est permis à la la plupart que de voir l'arrière de la tapisserie. Où rien ne semble avoir de sens. Alors quel le chaos et le désordre est la norme.
Seuls les morts, élus de Dieu, verraient à la façon de Dieu, enfin, l'image de face de la tapisserie où tout a un enfin un sens. Tout avait un sens comme on le leur avait dit mais il leur était impossible de le voir. À cause de leur infirmité humaine. Leur manque de vision. Étant à un stade d'existence inférieure à celle des anges. Humain infirme, jadis, enfin sauvé. Il leur serait permis de voir le sens de leur vie. Celui de leur vie qui s'entremêle à celles des autres qui les pénètrent simultanément. Aucune vie n'étant isolée et inutile.
Cette métaphore du Salut a encouragé bien des misérables humains à supporter cette vie jusqu'au bout.
Mais on peut voir l'idée de la tapisserie autrement. Non pour un usage céleste mais humain. Pratique.
Et tout est encore une fois à l'envers.
La réalité n'existant que par les images et les mots des médias et de la publicité qui remplacent ceux des professeurs dont le but est de donner une image acceptable de la planète et du pays où l'enfant devra vivre. Il devra trouver sa place, faire son trou, être utile, attendre son tour au supermarché du travail avec d'autres produits similaires à lui.
Parce qu'il n'y a pas d'autre vie.
Le spectacle dans lequel ils doivent jouer.
Tout a un sens. Il y a des images qui pourraient être meilleures mais il n'y en pas d'autres à leur disposition. Ou elles coûtent plus cher et ils n'en ont pas les moyens. Puisque l'$ dans ce monde est la mesure de tout.
D'autres, simples humains, non des anges, mais d'une variété complexe des possibles chez les humains. Ils voient le dos, l'arrière de la tapisserie. Les fils qui s'entrecroisent. Les maladresses. Le n'importe quoi.
Et les liens.
Tout ce qui est invisible à l'oeil et que l'on déconseillera de regarder.
Car le monde est fait pour les aveugles et les sourds et les idiots.
Encore une fois la réalité est retournée.
Quoi faire lorsqu'on voit ainsi?
La fable du roi nu l'explique bien.
Il ne s'agit pas de rire du roi et de sa naïveté car le roi déteste que l'on souligne sa stupidité. Il n'aime que les flatteurs et les publicitaires. Et il tue.
La possibilité que le roi tue s'il est contrarié doit toujours être prise en compte.
Ce qui fait que le conte est réservé aux enfants. Les adultes qui les lisent pour eux savent bien que tout est faux. Mais que pourraient-ils faire?
Désespérer !
Les autres personnes intelligentes et perspicaces auront vite compris qu’il faut toujours être du côté du manche.
Quand aux autres, les innombrables, comme disait à peu près monsieur Goebbels, on peut leur faire croire n’importe quoi. Et lorsque ça ne suffira plus, on pourra leur ordonner n’importe quoi – comme disait monsieur Goering - et ils obéiront et agiront avec zèle puisque ce sont des esclaves nés. Nés de l’hybridation de milliers de générations de perdants. Et utilisés comme les colonies de fourmis font avec leurs colonies de pucerons.
On les programme et déprogramme à volonté.
Vous voyez. Vous ne voyez plus.
Vous vous endormez.
Vos paupières sont lourdes.
Vous avez de la difficulté à respirer, avaler.
On les programme et déprogramme à volonté.
Vous voyez. Vous ne voyez plus.
Vous vous endormez.
Vos paupières sont lourdes.
Vous avez de la difficulté à respirer, avaler.
Sherlock Holmes enquêterait sur ce problème avec rapidité puisqu’il est simple malgré sa complexité apparente. Parce qu’on aura tout fait pour le rendre indéchiffrable.
Ceci il le SAIT.
C’est comme un meurtre dans une chambre close.
Mais le lieu clos est le monde, l'espace et l'esprit des gens.
C'est le mot IMPOSSIBLE qui choque les gens, tétanise les volontés. Frappe l'imagination.
Méduser. Sidérer.
C'est comme un meurtre dans une chambre close. Un bureau fermé.
Comme.
C'est impossible qu'une telle chose arrive.
On reculera d'effroi devant la perspective du drame spirituel qui s'annonce dans toute sa puanteur.
La plupart auront déjà abandonné.
Quelque-uns que ce genre de secret avec ses possibles révélations attirent irrésistiblement vers le gouffre, chercheront maladroitement une entité externe, un esprit, un fantôme.
Les autres les regarderont scandalisés. Refuseront que des esprits curieux sans principe, qui ne semble craindre ni Dieu ni Diable, aillent plus loin dans ce premier cercle de l'enfer.
Risquant d'attirer sur eux tous le sort malveillant et les malheurs infernaux. Par contagion.
Par prudence et pudeur refuseront qu'on cherche.
Reculeront horrifiés devant la porte fermée et entrouverte.
Devant les explorateurs de l'impossible qui s'aventurent étourdiment dans ces domaines où le simple mortel n'est pas admis. Avec la seule protection de leur prétention scientifique.
Leurs idées scandaliseront. Les esprits simples et inférieurs scandalisés pourront devenir violents.
On murera les issus. Condamnera la porte.
Si on le peut, si on ose s'approcher, on détruira tout. Mettra le feu.
Et ostracisera toute autre personne qui, plus tard - il se peut que ceci se produise périodiquement - osera pousser plus avant ses investigations. Et poser des questions sur ce passé que tous doivent oublier.
Les témoins - qui n'auront rien vu - feront désormais parti de la malédiction de ces lieux.
Avec les fosses de leur tombes invisibles.
Les arbres plus grands où on les a pendu avant-hier.
L'impossible moderne est pour l'esprit sans défense qui ne comprend rien du monde réel - l'esprit de l'enfant, qui ne changera jamais d'âge - comme celui d'un débile - l'impossibilité d'imaginer que ceux dont il dépend, ses protecteurs, la figure du père compatissant, soit capable de faire une telle chose.
Ceci révulse.
Mais l'esprit curieux, adulte, qui a vu, étudié, comparé, qui aime penser, sait que ces organisations et des gens dans les organisations sont capable de tout.
Et le font sans cesse.
Ceci il le SAIT.
C’est comme un meurtre dans une chambre close.
Mais le lieu clos est le monde, l'espace et l'esprit des gens.
C'est le mot IMPOSSIBLE qui choque les gens, tétanise les volontés. Frappe l'imagination.
Méduser. Sidérer.
C'est comme un meurtre dans une chambre close. Un bureau fermé.
Comme.
C'est impossible qu'une telle chose arrive.
On reculera d'effroi devant la perspective du drame spirituel qui s'annonce dans toute sa puanteur.
La plupart auront déjà abandonné.
Quelque-uns que ce genre de secret avec ses possibles révélations attirent irrésistiblement vers le gouffre, chercheront maladroitement une entité externe, un esprit, un fantôme.
Les autres les regarderont scandalisés. Refuseront que des esprits curieux sans principe, qui ne semble craindre ni Dieu ni Diable, aillent plus loin dans ce premier cercle de l'enfer.
Risquant d'attirer sur eux tous le sort malveillant et les malheurs infernaux. Par contagion.
Par prudence et pudeur refuseront qu'on cherche.
Reculeront horrifiés devant la porte fermée et entrouverte.
Devant les explorateurs de l'impossible qui s'aventurent étourdiment dans ces domaines où le simple mortel n'est pas admis. Avec la seule protection de leur prétention scientifique.
Leurs idées scandaliseront. Les esprits simples et inférieurs scandalisés pourront devenir violents.
On murera les issus. Condamnera la porte.
Si on le peut, si on ose s'approcher, on détruira tout. Mettra le feu.
Et ostracisera toute autre personne qui, plus tard - il se peut que ceci se produise périodiquement - osera pousser plus avant ses investigations. Et poser des questions sur ce passé que tous doivent oublier.
Les témoins - qui n'auront rien vu - feront désormais parti de la malédiction de ces lieux.
Avec les fosses de leur tombes invisibles.
Les arbres plus grands où on les a pendu avant-hier.
L'impossible moderne est pour l'esprit sans défense qui ne comprend rien du monde réel - l'esprit de l'enfant, qui ne changera jamais d'âge - comme celui d'un débile - l'impossibilité d'imaginer que ceux dont il dépend, ses protecteurs, la figure du père compatissant, soit capable de faire une telle chose.
Ceci révulse.
Mais l'esprit curieux, adulte, qui a vu, étudié, comparé, qui aime penser, sait que ces organisations et des gens dans les organisations sont capable de tout.
Et le font sans cesse.