Sherlock Holmes s'était rendormi dans son fauteuil LaZyboy où il vivait presque en permanence.
PINNACLE RECLINA-ROCKER® RECLINER
Live life confortably
799 COVERS AVAILABLE!
Pinnacle Reclina-Rocker® Recliner
Style Number: 512
Product Dimensions as shown:
Overall : 41.00" H x 33.00" W x 38.50" D
Seat : 18.50" H x 19.00" W x 21.50" D
Nothing makes relaxing more uplifting than Pinnacle’s easy-going attitude.
Enjoy smooth rocking and reclining motion with a plushly-pillowed high back, channel-stitched details and full-body chaise comfort and support.
For the ultimate in comfort, upgrade to PowerReclineXR or PowerReclinerXR+ with a power back and legrest you can control independently to any combination of positions PLUS a power-tilt headrest and power lumbar support that maintains the perfect viewing angle while you recline.
Available in a wide selection of custom fabrics and leathers. See the complete Pinnacle line for more reclining options and additional matching pieces.
PREMIER CONFORTCORE
Premier ComfortCore®, the next generation of comfort, beautifully designed and built to stay that way.
Our Premier sofas and sectionals come standard with ComfortCore® zoned technology for optimal firmness and lasting comfort.
ZONED TECHNOLOGY FOR OPTIMAL FIRMNESS AND LASTING CONFORT
MemoryFoam
Memory Foam is a perfect balance of softness and support that's unforgettably comfortable. It combines a 2" layer of premium quality memory foam over a high-resiliency (Qualux®) foam base for the perfect balance of personalized comfort and targeted support.
La-Z-Boy Memory Foam is the perfect balance of softness and support that’s unforgettably comfortable. Add 2˝ Layer of premium memory foam on the seat, chaise and footrest of select reclining chairs, loveseats and sofas for extra softness that adjusts to you. High Density Qualux® foam base is highly resilient for superior support that helps reduce pressure points in all positions, upright and reclined.
La-Z-Boy Comfort, an American tradition. With pride we build an all-American invention on American soil.
Custom create a look all your own with expert tailoring and details.
With La-Z-Boy Premier sofas and sectionals, you can custom create a look that’s all your own with affordable fabric and leather options to suit any taste, any style, and any budget. Choose from hundreds of fabrics in the latest colors and patterns. Or, choose soft and sensual leather for its natural beauty and durability. Next, make it uniquely yours with custom details and accents. With so many options... your design possibilities are endless.
Contrasting accent pillows
Complement the look of your sofa by using pillows in a contrasting fabric available with decorative cord and fringe detail
Sleep Sofa Convenience
Many sofa and sectional styles also come with a sleep sofa option for an instant guest room when you need it.
Designed to be beautiful and built to stay that way.
Premier sofas also feature fully padded, La-Z-Boy engineered frames for enhanced design lines and lasting durability along with an almost endless selection of fabric and leathers available for custom order.
For an even more luxurious feel, upgrade to ComfortCore® Plus with an added featherblend layer on the top and bottom of each cushion.
Premier ComfortCore®
Zone 1 – RICHFOAM CORE®
Offers softer support at the front of cushion to ease pressure behind knees.
Zone 2 – QUALUX® ULTRA HR CORE
Firmer support in the back area of cushion for softness without sagging.
Zone 3 – QUALUX® HR CASING
Offers an added layer of overall support for lasting comfort and durability.
Zone 4 – HYPERSOFT® FOAM
Provides an additional layer of softness and support topped with a layer of batting.
*
Il relut la brochure publicitaire et le mode d'emploi. Et la garantie.
Dès qu'il y avait quelque chose à lire, il lisait.
Il ne pouvait s'empêcher de faire fonctionner son cerveau. Comme il n'avait pas toujours des problèmes complexes à résoudre, il se contentait de questions simples, comme celles des jeux télévisés.
Ou lire quelque chose.
Régulièrement, il fallait qu'il lise quelque chose. Il en avait un besoin vital. Comme le diabétique a besoin de sucre.
Jusqu'à ce qu'il s'endorme.
Et il se réveilla ou la TV.
Qui fonctionnait en permanence - si c'était bon pour les épouses et les perruches et les chats, pourquoi pas lui?
La TV faisait un bruit de fond en permanence.
Certaines personnes apprécient les vagues du rivage ou le son de la pluie qui tombe sur un toit de tôle ou de bardeaux de cèdre.
Le bruit de fond des choses. Leur murmure. Leur bourdonnement.
Comme les scientifiques disent que l'univers en produit.
Qui proviendrait de la création du monde.
Et qu'ils étudient pour savoir s'il y a une vie extraterrestre.
Pour savoir si les signaux sont autre chose que des bruits dépourvus de sens. Une défectuosité de leurs appareils.
La majorité d'entre eux affirment que ces signaux sont une trace du Bing Bang. L'explosion primordiale.
Quelques-uns vont jusqu'à dire que ce sont des signaux que des intelligences d'ailleurs envoient en espérant qu'on leur retourne une sorte d'accusé-réception. Ce que les gens polis faisaient. Ou feraient. S'ils étaient polis.
Certains scientifiques pessimistes affirment que c'est très imprudent. Mais les scientifiques pessimistes sont minoritaires dans ce domaine. Mais majoritaires, dans l'étude de l'environnement. Ou de ce qui en reste.
Et la majorité des scientifiques optimistes attendent avec ravissement les premiers signes d'une présence qui prouverait enfin qu'il existe une autre vie organique que sur Terre.
À cette question, Sherlock Holmes aurait répondu oui, si on le lui avait demandé mais on ne le lui avait pas demandé et il était assez prudent pour faire le sourd et l'ignorant si jamais cette question était abordée.
S'il est dit sans détour que des scientifiques étudient le phénomène - leur côté réactionnaire (tendance bureaucrate communiste) apparaissait vite s'ils se voyaient placés devant une telle affirmation. Ou, pire, des preuves. C'est une chose de théoriser la chose. De prétendre la comprendre. Une autre de la voir. Leur esprit faisant sans cesse du va-et-vient entre différentes parties de leurs cerveaux. Le centre de leur raison et le centre reptilien. Ouverture d'esprit. Mais tous aux abris et fermeture des écoutilles dès que quelques chose d'impensable se présentait. Ou le signe que quelque chose d'impensable se produirait.
Il y avait là quelque chose du journaliste chez eux. Ou du matou castré.
Car ils affirmaient à la fois étudier sans préjugé - au contraire des prêtres et sorciers et alchimistes et manieurs de Tarot et amulettes et métaphysicien, leurs prédécesseurs - et être capable de le faire - puisque toute leur vie, ils s'étaient préparées à cette rencontre - mais dès que quelque chose semblait différent du salon de leur belle-mère et de son odeur de renfermé, ils devenaient asthmatique.
Comme Sherlock Holmes n'était pas un réformateur des moeurs et ne cherchait pas à améliorer son prochain comme les puritains de Salem.
Il savait que des êtres venaient de l'espace.
Il savait qu'il y avait des anges. Des femmes.
Qui comme leurs semblables terrestres, se promènent sur les trottoirs ou prennent le métro et l'autobus.
Pour faire quoi ? Aller où ?
Autres sujets qui auraient fait tousser et tomber en pâmoison les scientifiques.
Sans compter les célèbres contes du 11 septembre.
Ou ceux d'Irak. Et de Syrie. Et de Libye.
Tous ces mensonges pieux indispensables aux tueurs de vieilles femmes.
Distraitement, il regarda ce qu'il y avait à la TV. Des reprises des émissions du jour. Ou des nouvelles. Toujours les mêmes 10 nouvelles. Du même jour. Ce que dans la TV, ils appellent «information continue». Sur les milliards de choses qui se passent un jour dans le monde, quelqu'un dans sa sagesse, a fait le tri et en a choisi 10.
On disait aussi que le président des USA avait fait un discours à Westpoint. On résumait le discours. Avec admiration.
Sherlock Holmes, prit sa télécommande tombée dans un recoin du vaste fauteuil et il changea l'image de la station TV pour celle d'Internet et celle du site de la Maison Blanche où on pouvait lire et entendre le discours. Fascinant!
Le président des USA faisait encore un discours. Activité qu'il semblait affectionner.
Par jeu, Sherlock Holmes, pris le livre qui était tombé à plat sur ses cuisses lorsqu'il s'était endormi et se mit à cocher les critères des tests. Un peu comme on en trouve dans les revues féminines mais plus complexes.
Qui fonctionnait en permanence - si c'était bon pour les épouses et les perruches et les chats, pourquoi pas lui?
La TV faisait un bruit de fond en permanence.
Certaines personnes apprécient les vagues du rivage ou le son de la pluie qui tombe sur un toit de tôle ou de bardeaux de cèdre.
Le bruit de fond des choses. Leur murmure. Leur bourdonnement.
Comme les scientifiques disent que l'univers en produit.
Qui proviendrait de la création du monde.
Et qu'ils étudient pour savoir s'il y a une vie extraterrestre.
Pour savoir si les signaux sont autre chose que des bruits dépourvus de sens. Une défectuosité de leurs appareils.
La majorité d'entre eux affirment que ces signaux sont une trace du Bing Bang. L'explosion primordiale.
Quelques-uns vont jusqu'à dire que ce sont des signaux que des intelligences d'ailleurs envoient en espérant qu'on leur retourne une sorte d'accusé-réception. Ce que les gens polis faisaient. Ou feraient. S'ils étaient polis.
Certains scientifiques pessimistes affirment que c'est très imprudent. Mais les scientifiques pessimistes sont minoritaires dans ce domaine. Mais majoritaires, dans l'étude de l'environnement. Ou de ce qui en reste.
Et la majorité des scientifiques optimistes attendent avec ravissement les premiers signes d'une présence qui prouverait enfin qu'il existe une autre vie organique que sur Terre.
À cette question, Sherlock Holmes aurait répondu oui, si on le lui avait demandé mais on ne le lui avait pas demandé et il était assez prudent pour faire le sourd et l'ignorant si jamais cette question était abordée.
S'il est dit sans détour que des scientifiques étudient le phénomène - leur côté réactionnaire (tendance bureaucrate communiste) apparaissait vite s'ils se voyaient placés devant une telle affirmation. Ou, pire, des preuves. C'est une chose de théoriser la chose. De prétendre la comprendre. Une autre de la voir. Leur esprit faisant sans cesse du va-et-vient entre différentes parties de leurs cerveaux. Le centre de leur raison et le centre reptilien. Ouverture d'esprit. Mais tous aux abris et fermeture des écoutilles dès que quelques chose d'impensable se présentait. Ou le signe que quelque chose d'impensable se produirait.
Il y avait là quelque chose du journaliste chez eux. Ou du matou castré.
Car ils affirmaient à la fois étudier sans préjugé - au contraire des prêtres et sorciers et alchimistes et manieurs de Tarot et amulettes et métaphysicien, leurs prédécesseurs - et être capable de le faire - puisque toute leur vie, ils s'étaient préparées à cette rencontre - mais dès que quelque chose semblait différent du salon de leur belle-mère et de son odeur de renfermé, ils devenaient asthmatique.
Comme Sherlock Holmes n'était pas un réformateur des moeurs et ne cherchait pas à améliorer son prochain comme les puritains de Salem.
Il savait que des êtres venaient de l'espace.
Il savait qu'il y avait des anges. Des femmes.
Qui comme leurs semblables terrestres, se promènent sur les trottoirs ou prennent le métro et l'autobus.
Pour faire quoi ? Aller où ?
Autres sujets qui auraient fait tousser et tomber en pâmoison les scientifiques.
Sans compter les célèbres contes du 11 septembre.
Ou ceux d'Irak. Et de Syrie. Et de Libye.
Tous ces mensonges pieux indispensables aux tueurs de vieilles femmes.
Distraitement, il regarda ce qu'il y avait à la TV. Des reprises des émissions du jour. Ou des nouvelles. Toujours les mêmes 10 nouvelles. Du même jour. Ce que dans la TV, ils appellent «information continue». Sur les milliards de choses qui se passent un jour dans le monde, quelqu'un dans sa sagesse, a fait le tri et en a choisi 10.
On disait aussi que le président des USA avait fait un discours à Westpoint. On résumait le discours. Avec admiration.
Sherlock Holmes, prit sa télécommande tombée dans un recoin du vaste fauteuil et il changea l'image de la station TV pour celle d'Internet et celle du site de la Maison Blanche où on pouvait lire et entendre le discours. Fascinant!
Le président des USA faisait encore un discours. Activité qu'il semblait affectionner.
Par jeu, Sherlock Holmes, pris le livre qui était tombé à plat sur ses cuisses lorsqu'il s'était endormi et se mit à cocher les critères des tests. Un peu comme on en trouve dans les revues féminines mais plus complexes.
1. Tendance à la loquacité
2 Charme superficiel
2 Charme superficiel
3. Tendance à la surestimation de soi
4. Besoin de stimulation
5. Tendance à s’ennuyer
5. Tendance à s’ennuyer
6. Tendance au mensonge pathologique
7. Tendance à la duperie et à la manipulation
8. Tendance à l'absence de remords et de culpabilité
9. Tendance à la démonstration d'affects superficiels
10. Tendance à l'insensibilité
11. Tendance au manque d’empathie
11. Tendance au manque d’empathie
12. Tendance au parasitisme
13. Tendance à la faible maîtrise de soi
14. Tendance au sadisme
15. Tendance aux hallucination
16. Tendance à se sentir menacé
17. Tendance à vouloir changer les autres de force supposément pour leur bien.
15. Tendance aux hallucination
16. Tendance à se sentir menacé
17. Tendance à vouloir changer les autres de force supposément pour leur bien.
18. Tendance à l'apparition précoce de problèmes
de comportement
19. Tendance aux comportement antisociaux dès le plus jeune âge: par exemple, voler, faire souffrir des animaux, détruire les biens des autres, se moquer des infirmes.
19. Tendance aux comportement antisociaux dès le plus jeune âge: par exemple, voler, faire souffrir des animaux, détruire les biens des autres, se moquer des infirmes.
20. Tendance à une incapacité de planifier à long
terme et de façon réaliste
21. Tendance à vivre dans un monde irréel et fantasmatique
21. Tendance à vivre dans un monde irréel et fantasmatique
22. Tendance à l'impulsivité
23. Tendance à l'irresponsabilité
25. Tendance à accumuler dès le plus jeune âge une diversité de types de dépravation, de perversion actualisées sous forme de délits - que la chance - ou la respectabilité apparente et le niveau social estimable (à vue d'oeil) de ses parents - lui ont permis de - d'éviter de faire face aux conséquences logiques de ses gestes.
Au contraire du noir de base ou de l'indien commun d'une réserve. La Justice ayant une tendance naturelle à la façon d'une loi de la physique à s'appesantir de tout son poids sur les pauvres.
Sherlock Holmes fit le tour des crochets et des notes.
Note satisfaisante.
Il y avait même quelque chose de réjouissant.
Politiciens. Hommes d'affaires. Banquiers. Ecclésiastiques. Généraux. Mafiosi.
Les maîtres du monde.
Et tous les petits maîtres du monde. Chef de bureau. Sous-chefs.
Toutes professions qui les attirent irrésistiblement. La lumière de l'$ et ou du pouvoir absolu. Permettant de faire obéir absolument.
De menacer. Détruire. Humilier.
Et des milliers de rats qui se lancent dans la course dans les tunnels, les labyrinthes et les grandes roues. Quelques-uns, les meilleurs de rats, les rats les plus perfectionnés, arriveront tout au bout. Tout en haut. Au sommet.
Les autres se résignant aux strates intermédiaires de la pyramide incapables d'escalader les suivantes.
Où ils devront se contenter d'un nombre limité de victimes.
Le discours du président était tout à fait satisfaisant et conforme à ce qu'on pouvait attendre d'un homme tel que lui.
Encore une fois, un parfait exemple de psychopathe. Comme tous ses semblables.
Était-il pire que ses prédécesseurs ?
Bush fils ou Reagan étaient des beaux cas.
Mais pouvait-on s'attendre à autre chose? Aucune personne sensée ne se lancerait dans la foire d'une campagne électorale US. Épuisante sauf pour un sportif d'élite. Tous ces gens. Il y en avait tant. Et il fallait leur réciter quelque chose à chacun. Personne ne peut faire autant semblant et mentir autant - avec conviction et enthousiasme - sans avoir un grave désordre de la personnalité.
Ou quelqu'un d'halluciné mené par quelques voix intérieures dans un but - on dira, dans le moins pire des cas: louche!
Et ça coûte 1 milliard. Donné par qui ? Et ces gens attendent quoi en retour ? Rien ? Vraiment?
Le candidat gagnant est donc redevable à ses commanditaires qui attendent d'être récompensés bibliquement au centuple.
Aussi, ce ne sont que des individus spéciaux, difformes, tarés, presque infirme, des comédiens autistes ratés qui se vautrent dans ces cirques.
Aucune personne normale n'y survivrait mentalement et physiquement.
Tandis que les gens plus intelligents - tout à fait incapables de se soumettre physiquement et psychologiquement à une elle épreuve - encouragent leurs poulains, lui donne son avoine et ses stimulants indispensables - aucun cycliste ne peut faire le Tour de France sans être défoncé.
Et peu importe qui gagne.
C'est le laboratoire qui a créé le monstre qui gagne et qui commande derrière la scène. Les compagnies pharmaceutiques saluent leurs champions interchangeables. Au départ de la course qui durera 1 an. Et ils salueront le gagnant survivant.
Et, tout au cours de son mandat, lui donneront à lire - s'il peut lire (ce n'est pas certain) - ou lui diront ce qui est important.
Mais il n'est pas sûr qu'il soit capable d'entendre et de comprendre ce qu'on lui dit.
Ainsi donc des comités, des agences, des organismes, des spécialistes, feront en son nom. pour le bien supérieur de l'État, les choses qu'ils pensent qui doivent impérativement être faites.
Pourquoi serait-il accusé de quelque chose puisqu'il n'est au courant de rien.
Et pas besoin de mentir ou de se tromper de mensonges. Pour la même raison. Quoiqu'il soit, de par sa position et le processus de la compétition qui l'y a mené, un spécialiste, le spécialiste du mensonge. Mais on peut se tromper de version - un coup de fatigue. Le stress. Un accès de sincérité. Mais. Lorsqu'on ne sait rien et qu'une lueur égarée brille ou scintille au fond de nos yeux - une lueur d'intelligence, disait-on, dans le cas de grand malade dans les institutions spécialisées.
Il y a toujours le risque de s'étouffer avec des pretzels, des peanuts, des jujubes.
Ou en buvant un verre d'eau dans un orifice quelconque.
Ils lui laisseront ses fantaisies tant qu'ils ne s'appesantissent pas ailleurs que chez le petit peuple.
Et s'il devient ingouvernable - le syndrome du maître du monde - on lui rappellera les conséquences de ses oublis - comme pour Reagan.
Par une piqûre de rappel.
Les maniaques manipulables, candidats martyrs, prêts à mourir pour la patrie et le salut de la nation et tueur de roi à la Ravaillac, Gavrilo Princip ou Lee Harvey Oswald ne manquent jamais. On en tient toujours quelques-uns au chaud dans son couvoir au cas où.
Ce qui permettra à la marionnette oublieuse de se rappeler qu'il peut lui arriver pire.
Comme à Kennedy.
Et son frère.
À quoi servait cette information ?
À rien.
Au contraire du noir de base ou de l'indien commun d'une réserve. La Justice ayant une tendance naturelle à la façon d'une loi de la physique à s'appesantir de tout son poids sur les pauvres.
Sherlock Holmes fit le tour des crochets et des notes.
Note satisfaisante.
Il y avait même quelque chose de réjouissant.
Politiciens. Hommes d'affaires. Banquiers. Ecclésiastiques. Généraux. Mafiosi.
Les maîtres du monde.
Et tous les petits maîtres du monde. Chef de bureau. Sous-chefs.
Toutes professions qui les attirent irrésistiblement. La lumière de l'$ et ou du pouvoir absolu. Permettant de faire obéir absolument.
De menacer. Détruire. Humilier.
Et des milliers de rats qui se lancent dans la course dans les tunnels, les labyrinthes et les grandes roues. Quelques-uns, les meilleurs de rats, les rats les plus perfectionnés, arriveront tout au bout. Tout en haut. Au sommet.
Les autres se résignant aux strates intermédiaires de la pyramide incapables d'escalader les suivantes.
Où ils devront se contenter d'un nombre limité de victimes.
Le discours du président était tout à fait satisfaisant et conforme à ce qu'on pouvait attendre d'un homme tel que lui.
Encore une fois, un parfait exemple de psychopathe. Comme tous ses semblables.
Était-il pire que ses prédécesseurs ?
Bush fils ou Reagan étaient des beaux cas.
Mais pouvait-on s'attendre à autre chose? Aucune personne sensée ne se lancerait dans la foire d'une campagne électorale US. Épuisante sauf pour un sportif d'élite. Tous ces gens. Il y en avait tant. Et il fallait leur réciter quelque chose à chacun. Personne ne peut faire autant semblant et mentir autant - avec conviction et enthousiasme - sans avoir un grave désordre de la personnalité.
Ou quelqu'un d'halluciné mené par quelques voix intérieures dans un but - on dira, dans le moins pire des cas: louche!
Et ça coûte 1 milliard. Donné par qui ? Et ces gens attendent quoi en retour ? Rien ? Vraiment?
Le candidat gagnant est donc redevable à ses commanditaires qui attendent d'être récompensés bibliquement au centuple.
Aussi, ce ne sont que des individus spéciaux, difformes, tarés, presque infirme, des comédiens autistes ratés qui se vautrent dans ces cirques.
Aucune personne normale n'y survivrait mentalement et physiquement.
Tandis que les gens plus intelligents - tout à fait incapables de se soumettre physiquement et psychologiquement à une elle épreuve - encouragent leurs poulains, lui donne son avoine et ses stimulants indispensables - aucun cycliste ne peut faire le Tour de France sans être défoncé.
Et peu importe qui gagne.
C'est le laboratoire qui a créé le monstre qui gagne et qui commande derrière la scène. Les compagnies pharmaceutiques saluent leurs champions interchangeables. Au départ de la course qui durera 1 an. Et ils salueront le gagnant survivant.
Et, tout au cours de son mandat, lui donneront à lire - s'il peut lire (ce n'est pas certain) - ou lui diront ce qui est important.
Mais il n'est pas sûr qu'il soit capable d'entendre et de comprendre ce qu'on lui dit.
Ainsi donc des comités, des agences, des organismes, des spécialistes, feront en son nom. pour le bien supérieur de l'État, les choses qu'ils pensent qui doivent impérativement être faites.
Pourquoi serait-il accusé de quelque chose puisqu'il n'est au courant de rien.
Et pas besoin de mentir ou de se tromper de mensonges. Pour la même raison. Quoiqu'il soit, de par sa position et le processus de la compétition qui l'y a mené, un spécialiste, le spécialiste du mensonge. Mais on peut se tromper de version - un coup de fatigue. Le stress. Un accès de sincérité. Mais. Lorsqu'on ne sait rien et qu'une lueur égarée brille ou scintille au fond de nos yeux - une lueur d'intelligence, disait-on, dans le cas de grand malade dans les institutions spécialisées.
Il y a toujours le risque de s'étouffer avec des pretzels, des peanuts, des jujubes.
Ou en buvant un verre d'eau dans un orifice quelconque.
Ils lui laisseront ses fantaisies tant qu'ils ne s'appesantissent pas ailleurs que chez le petit peuple.
Et s'il devient ingouvernable - le syndrome du maître du monde - on lui rappellera les conséquences de ses oublis - comme pour Reagan.
Par une piqûre de rappel.
Les maniaques manipulables, candidats martyrs, prêts à mourir pour la patrie et le salut de la nation et tueur de roi à la Ravaillac, Gavrilo Princip ou Lee Harvey Oswald ne manquent jamais. On en tient toujours quelques-uns au chaud dans son couvoir au cas où.
Ce qui permettra à la marionnette oublieuse de se rappeler qu'il peut lui arriver pire.
Comme à Kennedy.
Et son frère.
À quoi servait cette information ?
À rien.
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Source :
"AMERICA MUST ALWAYS LEAD": PRESIDENT OBAMA
ADDRESSES WEST POINT GRADUATES
Remarks by the President at the United States Military Academy Commencement Ceremony
U.S. Military Academy-West Point
The White House
Office of the Press Secretary
May 28, 2014
14.15 juin 2014. État 2