vendredi 26 décembre 2014

JOUR 22. RÉFLEXION DE MONSIEUR SHERLOCK HOLMES AU SUJET DE LA CONCEPTION DES IMMEUBLES ET DES FEMMES ET DE L'ÉDUCATION PARENTALE.

S'il était possible de dormir sans jamais se réveiller. Mais s'endormir est si difficile et le sommeil si léger.




COUTEAUX GLOBAL

Designer : Komin Yamada pour Yoshikin

Global. Fondateur Yuzo Watanabe


Héritier de la grande tradition des Samouraïs japonais, les couteaux "Global" sont la référence dans le domaine de la gastronomie. 

La lame des couteaux Global est en acier inoxydable CROMOVA 18 garantissant un tranchant exeptionnel. 

TRANCHANT EXCEPTIONNEL. CECI EST BIEN.

ET SI BIEN DIT.

SHERLOCK HOLSME AIMAIT CETTE ÉVIDENCE.

Le design des couteaux Global offre un parfait équilibre en main.

PARFAIT ÉQUILIBRE DE LA MAIN. QUE DEMANDER DE PLUS ?

La gamme proposée et chaque forme est spécialement adaptée à un usage particulier.

USAGE PARTICULIER. SPÉCIALEMENT ADAPTÉ. IL Y AVAIT DE LA POÉSIE DANS TOUS CES FUTURS POSSIBLES.

Chaque couteau est livré dans une boîte individuelle.

L'achat de couteaux représente un investissement. 

Un bon couteau te permettra de travailler plus efficacement et sécuritairement et te procurera plus de plaisir lors de l'utilisation.

PROCURERA PLUS DE PLAISIR À L'UTILISATION. IL Y AVAIT DU VRAI DANS CETTE AFFIRMATION QU'ON AURAIT PU CROIRE EXCESSIVE.

Un bon couteau durera toute ta vie.

Lame et manche sont d'une pièce, ce qui procure un confort accru lors de la prise en main.

CONFORT ACCRU LORS DE LA PRISE EN MAIN. LE MOUVEMENT DU POIGNET SERA FACILITÉ.

Pour l'entretien des couteaux, il est préférable de les laver à l'eau tiède et savonneuse après l'utilisation.

PAS AU LAVE VAISSELLE. EAU TIÈDE. SAVON DOUX. 

NOTE

L'aiguisage et l'affûtage des couteaux. 

2 concepts. 

AIGUISAGE

L'aiguisage permet de retravailler le fil de la lame afin qu'il garde son tranchant optimal. 

TRANCHANT OPTIMAL.

Aiguiser le couteau avec un angle de 20 degrés. 

TRANCHANT OPTIMAL. AFFUTAGE

L'affûtage doit être fait lorsque le fil du couteau est émoussé ou altéré, ce qui permet de reformer le fil de la lame tel qu'il était lors de la fabrication

UN EXEMPLE

Couteau à désosser GF31

LAME 160 mm

LE CONCEPT

Le concept guidant le développement de la série GLOBAL était de réunir en un seul objet l'esthétique du désign Italien, la durabilité Allemande et la précision et les perfection Japonaise. Design et technologie militaire et spatiale. 

Tout le potentiel de la métallurgie dans la beauté de la perfection du matériau. 

De la fonte à l'usinage. 

Pour faire ressortir la beauté latente contenue dans toute matière, on a choisi le concept du couteau en une seule pièce d'acier inoxydable de la pointe de la lame au bout du manche. 

LE DÉSIGN

Culmination du design

ACIER

La structure cristalline de l'acier 

ÉTAPES

Le métal fut coulée, modelée, pressé et  forgé à froid afin de perfectionner l'objet. 

Traitement à chaud à 1000 degré C. 

Refroidissement rapide à - 80 degré C. 

STRUCTURE CRISTALLINE

Ce qui durcit la lame et rend plus uniforme sa structure cristalline et améliore ses qualités de coupe. 

Ensuite, la lame est encore une fois réchauffée pendant plusieurs heures. 

Le couteau sera plus fort et plus tenace.

La lame est ensuite polie et aiguisée à la main sur une pierre afin d'obtenir un tranchant ultime.

TRANCHANT ULTIME

POINTUE COMME UNE AIGUILLE

Et le couteau est dans cette boite sur la table devant lui.  

LA LAME EST TOUT JUSTE ROUGE

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Et, encore une fois, le manque de discernement des humains que ce soit dans le choix des compagnons de vie - animaux de compagnie, enfants, épouse ou mari - et la conception des immeubles venaient le préoccuper.

Il s'était effectivement informé lorsqu'il avait acheté le condo afin que celui-ci soit tout béton - parfaitement insonorisé. Ce qui éviterait que les excès de la vie des autres ne débordent dans son aquarium personnel. 

Malheureusement, cela débordait encore.

Femmes seules incapable d'élever leurs enfants et en faisant de petits monstres. Heureusement, tous ne finissent pas avec un fusil à la Chambre des Communes après avoir entendu les voix du Seigneur - celui-ci Arabe ou Juif. Ou voulant améliorer la condition féminine avec un retour aux valeurs ancestrales (patriarcales) comme le rappelait l'anniversaire de la tuerie de Polytechnique lorsqu'un égaré du cerveau entra à la fabrique d'ingénieur avec un fusil et sépara les garçons  et les filles. Prévenant celle-ci qu'il allait les assassiner drélà pour péché de féminisme. Celles-ci, en pleurant, eurent beau lui affirmer qu'elles n'étaient pas féministes. Tout juste des femmes. Mais c'était aussi l'autre raison de leur mort du jour. Être femme. Il y a bien d'autres égarés qui se prétendent des femmes à cause d'un défaut de connexion de leur cerveau. Quelque chose qui. Mais celles-ci en était de véritables. Au dernier chromosome.

Et elles moururent.

Les médias aiment ce genre de désastres qui leur fait dequoi dire. Hier, c'était le tsunami en Indonésie, il y a 10 ans. 220,000 morts. Ouah! 

Autre cause de débordement sonore. 

Les mésententes familiales. Ou couplée.

Des gens qui n'auraient jamais dû se rencontrer et qui ne pouvait plus se séparer. Jusqu'à ce que la mort vous sépare. Disait le prêtre lors du mariage.

Et la machine vivante hurlait, pleurait. On se battait. On battait. On accablait. Généralement l'homme gagnait.

Et cette maladie humaine l'avait forcé plusieurs fois à changer de logis. Comme le Bernard L'Hermite qui trouve sa coquille trop petite et doit s'en trouver une autre afin de protéger son corps et son esprit vulnérable.

Beaucoup des coquilles précédentes lui allai fort bien mais c'étaient les voisins. Toujours les voisins.

Les voisins le rendait allergique.

Il avait beau spécifier: vous m'assurer que ce cube est bien hermétique. À l'eau et au bruit. Le prix demandé l'assurait certainement. 

Ou probablement.

Mais les cris et les pleurs perçaient les murailles.

Ou il avait l'ouïe particulièrement sensible. Comme tous ses sens.

C'était intolérable tout ce malheur.

Il fermait la TV, la radio, les journaux et les magazines. Refusait de les ouvrir.

Il savait ce qu'on allait y dire.

Encore des malheurs.

Et provenant du mur de gauche, le son intense d'une femme blessée qui souffrait.

Cette manie des forts (faibles mentalement) d'accabler les faibles.

Et l'incapacité des faibles à fuir.

Comme il méprisait profondément les humains, leurs malheurs inévitables sans qu'il en jouisse fatalement auraient dû l'indifférer mais non.

Entendre une femme pleurer des heures était intolérable.

Et un enfant c'était pire.

Dans le cas des enfants, les femmes étaient aussi monstrueuses que les hommes. 

Statistiquement.

Comme cette situation intolérable perdurerait jusqu'à ce qu'il perde la raison. 

Ce qui lui était déjà arrivé. 

Il faudrait que quelqu'un mette un terme à cette infinité d'éternité.

Les pouvoir publics et fonctionnariels n'interviendraient qu'après le drame. Ou si quelqu'un du jeu de massacre se plaignait. Mais les esclaves sont génétiquement habitué à geindre et à endurer. Pendant des millénaires, on a perfectionné les vaches afin qu'elles finissent par donner sans cesse de flots de laits même sans petit pour téter. On a fait de même pour les obéissants silencieux.

Et il ressentirait dans son corps chaque coup. Aussi bien que si on le frappait.

Chaque larme. Autant que si c'était lui qui pleurait.

La douleur communiquerait en lui.

Infernalement.

Il ne servait à rien d'avertir le bourreau que l'on savait tout de ses actes. Qu'il y avait des témoins. Qu'on se plaindrait. Sa victime serait la première à le seconder. Et il aurait bientît quelqu'un qui chierait devant sa porte. Juste, pour l'emmerder. Lui empoisonner la vie.

Même chose pour les petits voleurs. Les ado infernaux des femmes incapables.

Il détestait en arriver là.

L'avantage du couteau est qu'il supplée à la faiblesse physique.

Plus efficacement qu'une arme à feu.

Qu'il faut porter, cacher. Si le calibre est conséquent, utilitaire, elle a toujours son bon poids de métal savant. Une dimension nécessaire.

Une petite arme de petit calibre fait rire.

On s'attend à ce qu'on la sorte d'un sac à main.

Une balle de .22 fait un trou mais n'arrêtera pas le porteur de trou.

Tandis qu'avec un couteau, on peut frapper et tailler avant que l'autre soit sur vous et vous domine de toute sa grandeur et sa force.

Sherlock Holmes était mince, pas très grand. Presque maigre. Déjà cadavre. Ou il en aurait fallu de peu. De type nerveux. Des os, des nerfs et si peu de muscle. 

Quelqu'un lui avait dit qu'il avait un frame de poulet.

Il aurait pu enseigner la théologie.

Il suffisait d'écouter les lamentations et la douleur.

Il connaissait ainsi toute l'architecture de l'appartement voisin.

Et l'agenda et le calendrier et les cartes des déplacements de ce couple empoisonné.

Le soir.

Le soir suivant, l'homme ne revint pas du travail.

La police sans doute appelé par son épouse fit le tour des voisins pour enquêter comme il est d'usage.

Le voisin avait disparu.

La femme, son épouse fut triste. 

Pleura encore.

Il ne la connaissait qu'ainsi. Elle avait pleuré. Pleurait. Ou pleurerait.

Puis elle cessa graduellement de pleurer.

Elle était libérée.

Le mur de béton mitoyen ne laissait plus traverser aucun son.

C'est comme si elle était morte.

Ou résignée.

Peu importe, ce nouvel était de fait était silencieux. Et se perfectionnait sans bruit.

Et Sherlock Holmes put enfin dormir.

Même s'il dormait peu.

*

État 1. 26 décembre 2014