Sherlock Holmes attendait la mort.
Comme chaque jour. Chaque soir. Chaque nuit.
Et la mort ne venait pas.
Attendait.
Ou le sommeil.
Ou ce qui arriverait le plus rapidement.
Comme tous les jours. Ou tous les soirs. Ou toutes les
nuits.
Depuis des décennies et la mort n’était jamais venue.
Assis dans son fauteuil, dans le noir. Où il vivait, rêvait
éveillé. Ou dormait. Ou perdait conscience plutôt que de dormir. Brièvement.
Combien d’années?
Depuis combien d’années avait-il dormi une nuit entière ?
Quelques heures maintenant.
Quelque chose le réveillait toujours et il attendait de se
rendormir.
Pistolet à la main. Une bel objet, une somptueuse mécanique,
une merveilleuse machine métallique. Une machine à sommeil.
HK.
HECKLER & KOCH
P30/P30S/P3SP
P30 USP V1
CAL. 9 MM X 19
Sans sûreté externe.
Disponible en 6 variantes.
Systèmes de détente disponibles : CDA/DA, CDA, SA/DA, DAO.
Choix : SA. DA
Plus qu'un simple pistolet
SÉCURITÉ SYSTÉMATISÉE
La série de pistolets P30 est synonyme de sécurité
systématisée.
PROMESSE DE PERFORMANCE
Il ne s'agit pas de paroles vides de sens, mais bien plus
d'une promesse de performance envers l'utilisateur qui a été concrétisée
systématiquement lors de la recherche et le développement du P30.
CONCRÉTISATION SYSTÉMATIQUE
Le résultat est une série de pistolets unique qui allie une
sécurité maximale à une parfaite fonctionnalité.
SÉCURITÉ MAXIMALE
PARFAITE FONCTIONNALITÉ
Style marquant.
DÉTAILS RAFFINÉS
Détails raffinés.
FIABILITÉ ÉPROUVÉE
Fiabilité éprouvée
SÉDUCTION
Le P30 séduit par son concept ergonomique de poignée
totalement inédit.
CONCEPT ERGONOMIQUE
ADAPTATION INDIVIDUELLE ET MAXIMALE
Avec les talons de poignée interchangeables, elles
permettent une adaptation individuelle et maximale du pistolet à n'importe
quelle taille de main, qu'il s'agisse d'une femme ou d'un homme.
POUR LES MISSIONS SPÉCIFIQUES
L'USP a été spécialement conçu et développé pour les
missions spécifiques des militaires et des forces de l'ordre.
RÉSULTAT ÉLOQUENT
Le résultat est éloquent.
USAGE UNIVERSEL
L'USP est d'un usage universel.
FONCTIONNEMENT IRRÉPROCHABLE
Sécurité de fonctionnement irréprochable
FIABILITÉ ET PRÉCISION
Fiabilité et précision de tir exemplaires.
L'USP dispose aussi d'autres arguments.
Le pistolet était en soit une conversation.
UN SYSTÈME
L’USP est un système.
L’EXIGENCE
Système modulaire, il permet d'adapter individuellement les
dispositifs de sûreté et de détente en fonction de chaque exigence.
IL FAUT QUE LA MAIN DU TIREUR SOIT SOULAGÉE
Le verrouillage Browning avec système d'amortisseur breveté
renforce la réduction du recul lors du tir, ce qui permet de soulager la main
du tireur.
Modèle V1
SA/DA
Simple Action. Poids de la détente. 20 N
Course de la détente 7 mm
Double Action. Poids de la détente 50 N
Course de la détente 14 mm
Sûreté. Désarmement à gauche
Une arme parfaite.
Qu’il ne prenait qu’à l’intérieur. Ce qui était pour le
moment, chez lui.
À l’extérieur, il apportait un couteau. Ce qui avait jusqu’à
présent toujours suffi.
Sherlock Holmes ne dormait pas
Sherlock Holmes respirait.
Sherlock Holmes respirait mal.
Ayant développé une allergie envers l’air et tout ce que les
somnambules appellent la vie.
Un peintre célèbre s’appelait lui-même le respirateur.
Répondant ainsi aux gens lui demandant ce qu’il faisait. Il respirait. Ce qui
sous-entendait - il était un homme plein de secret, d’humour incompréhensible –
qu’il allait un jour cesser de le faire. Ce qu’il fit le 2 octobre 1968.
En ce moment, nuit interminable du 7 janvier 1015, septième
long jour de la nouvelle année, Sherlock Holmes respirait encore
Les autres «vivent» ou s’imaginent le faire.
Comme ils s’imaginent penser.
Sherlock Holmes pensait
Froidement.
Tout finissait par devenir liquide et transparent
Alors que leurs idées leur arrivent par contagion et
s’incrustent en eux comme des virus. Contrôlant ensuite leur vie après avoir
colonisé leur esprit.
Les mêmes virus orthographiques s’incrustant parfois dans
des millions de personnes. Y demeurant jusqu’à ce qu’ils soient remplacés par
d’autres. Souvent par force.
Et, possédés par ce sort funeste, ils font des choses
ordinaires, minuscules.
Parfois admirables
Mais pas si souvent ou horribles et abominables.
Avec enthousiasme. Et très souvent.
Dans le carnage et à la lueur de l’incendie, ils se sentent
enfin vivre
Le contact des humains ou leur proximité le mettait, au
mieux, mal à l’aise. Ou lui répugnait carrément.
Parce qu’il devinait ce qu’ils pensaient. Les mots «deviner»
et «penser» étaient inexacts. Il savait.
Leurs pensées étaient comme un objet avec un poids, une
surface, une épaisseur
Une étape primitive des humanoïdes avant que des gens comme
lui les remplacent
Le processus était simple. Il ne savait pas. Et, ensuite,
savait. C’était tout simplement évident.
Il était donc essentiel pour lui de garder ses distances.
Les «pensées» des hommes étaient comme leur odeur : déplaisante.
Il ne voulait pas les connaître. Ne rien en savoir.
Il devait donc se tenir loin.
Ce qui permettrait à sa machine à penser de s’arrêter.
Il se voyait lui-même comme une machine. Une machine
supportant, transportant une autre machine : un cerveau délicat,
perfectionné, incomparable.
Qui prenait toute son énergie et lui en laissait à peine.
Pour respirer. Pour que la machine des poumons poussent l’air, filtre le sang
et le sépare de l’air. Sang apporté par la pompe biologique du cœur. Sang qui
était passé par les machines filtrantes des reins et du foie.
Et comme toute machine, il devait impérativement les arrêter
de fonctionner. Que ce soit son corps. Ou son cerveau.
Ce qui était plus simple à expliquer qu’à faire.
Il ne pouvait s’en servir qu’un certain nombre d’heures par
jour.
On dit que le processus de digestion prend 3 heures. Le
processus de la pensée supérieure prend le temps de la lumière. C’était ensuite
qu’il fallait rester inerte. Ne pas placer le cerveau, les yeux, les oreilles
devant quelque chose qui forcerait à penser par réflexe.
Demeurer dans un tombeau. Une salle insonorisée. Pas trop
chaude. Ni trop froide. Noire.
Ne rien toucher.
Ne pas être touché par rien ni personne.
Aucun contact.
Parce que
Contrairement à tous les autres mortels, Sherlock Holmes
pensait tout le temps.
Parfois, il enviait ces infirmes et ces handicapés.
Parce que c’était harassant à la fin.
Il fallait que cela cesse. Tous ses efforts consistant à
éviter de penser ou à arrêter de penser
une fois que c’était commencé.
Parfois, malgré lui, ça commençait. Parce qu’il avait vu.
Entendu. Parce qu’une idée. Une autre. Une autre. Interminablement.
Et sa pensée, une fois appliquée à un objet le corrodait et
le réduisant en ruine.
Il suffisait qu’il place sa pensée devant un objet.
Et comme un fil de laine d’une balle de laine. Lui-seul
avait vu le fil. Il suffisait de tirer le fil et la balle de laine, la pelote
de laine, le chandail de laine, se défaisait.
Ou, tout simplement, comme on passe une aquarelle sous le
robinet, la couleur s’en allait dans l’évier tachant brièvement le fond. Dans
le drain de l’évier avec l’eau.
Ce processus si on l’avait compris aurait été vu comme il
était, tout à fait inhumain. Extrêmement menaçant.
Et des gens comme lui, il y en avait eu d’autres. Et dès
qu’on les avait découvert, on les avait tué.
Ils avaient parfois le choix de servir l’Église ou le roi
parce qu’ils savaient – ils savaient toujours – ce qu’il fallait dire et
démontrer pour convaincre tous les autres.
Si on ne les recrutait pas, s’ils ne mouraient pas, il leur
suffisait de regarder. Alors ils regardaient simplement la religion officielle,
le gouvernement officiel, la méthode officielle de fabrication de la puissance
ou de la fortune et ceux qui en profitaient pour que tout se défasse.
Pour que les pauvres carcasses grasses ou maigres où
pointaient les os et le poil retrouvent l’apparence des cadavres qu’ils
deviendront.
Et les villes devenaient des ruines.
Et les palais.
Et les églises.
Et les édifices des musées merveilleux remplis d’œuvres d’art
admirables en flammes parcourus par les foules joyeuses qui mettaient le feu à
tout. Parce qu’il fallait brûler les images.
Et les bibliothèques avec les milliers de livres incendiés
par les spectateurs joyeux.
Et s'il restait des livres et des inscriptions sur les pierres tombales plus personne ne pouvait les déchiffrer.
Et s'il restait des livres et des inscriptions sur les pierres tombales plus personne ne pouvait les déchiffrer.
Comme on jetait dans les bûchers les livres impies et leurs
auteurs. Ou on les enterrait
vivants. Sur leurs livres. Ou sur leurs livres. Ou on les pendait à des arbres ou des lampadaires avec au cou la ficelle qui servait de collier et qu’on avait creusé dans le livre qui pendait sur leurs poitrines.
vivants. Sur leurs livres. Ou sur leurs livres. Ou on les pendait à des arbres ou des lampadaires avec au cou la ficelle qui servait de collier et qu’on avait creusé dans le livre qui pendait sur leurs poitrines.
Parce qu’ils savaient lire. Parce qu’ils lisaient. Parce
qu’ils avaient écrit.
Et les champs qui allaient devenir des déserts.
Les ports qui s’ensableraient avec les carcasses moisies des
bateaux plantés sur des dunes et des collines.
Parce qu’ils étaient incapables de croire quelque chose, on
leur crèveraient les yeux, on leur arracherait les yeux, leur briserait les
dents, leur couperaient les lèvres au couteau, leur arracheraient les ongles
des doigts et les leur briserait et ensuite leurs mains.
C’était ce qui arrivait aux siens dans ce monde de reptiles.
PARCE QUE
Les humains doivent croire à quelque chose pour survivre.
Pour leur éviter d’être seul avec leur cerveau, toutes les
institutions leur emplissent le cerveau de mots que l’on appelle «idée». Alors
que ce sont des incantations ou des slogans.
Ceci commence dès la naissance.
Ceci se poursuit jusqu’à la mort avec ce qu’ils appellent
éducation. École. Église. Et média. Travail. Magasins.
Jamais on ne laissera leur esprit seul avec lui-même. Ce
qu’il trouve tout à fait normal. Ils en mourraient.
Il pousse un bouton et il y a des sons, des images. Partout
des papiers avec des mots. Pour la moitié de la population qui a été incapable
d’apprendre, il y a des sons et des images joyeuses.
À chaque instant, les descendants de Joseph Goebbels lui
disent quoi penser et à qui.
Quoi acheter. Puisqu’il vit dans une société marchande ou
les dieux anciens qui ont pourtant servi utilement pendant des millénaires sont
remplacés par des chaussettes de couleurs.
En concurrence avec d’autres chaussettes puisqu’on est dans
une civilisation de Libre Marché.
Dans les boites de plastique et de verre, il y a tout ce
qu’il faut croire pour être confortablement dans sa ville ou son pays.
Évitant d’être un immigrant de l’intérieur – comme il
l’était lui-même – ignorant les codes et les coutumes.
Ou, comme lui, les connaissant, mais le voyant comme un
carnaval folklorique.
Rien n’étant vrai.
Tout étant bricolé sommairement.
Des façades tenant à peine. À quoi bon faire mieux puisque
ces décors n’étaient que provisoires. Et qui irait voir à l’arrière ?
Un peu de colle et de peinture tenait à peine tout cet
attirail le temps qu’on l’améliore.
Les comédiens de théâtre parlent du quatrième mur qui est
formé du public qui les regarde ainsi que la scène. Les uns fabricant du sens
voyant le public. Le public regardant la vie que les comédiens imitaient pour
eux.
Mais le premier mur, celui derrière les décors du fond n’est
qu’échafaudage et clouage. On broche des cartons colorés si ça suffit. Ou on
colle. Si la colle suffit.
Des imitations.
Et à droite et à gauche, il n’y avait rien.
Parce que la réalité est horrible.
Il est donc utile, indispensable, impératif de vivre dans
l’illusion, les apparences, les imitations.
Personne ne pourrait supporter la réalité s’il devait y
vivre. Pourtant c’est ce qu’il doit faire.
Il y vit jusqu’à ce qu’il en meure mais on a sagement remplacé l’image de la réalité par une autre image plus floue. Vertueuse. Morale. Éthique.
Il y vit jusqu’à ce qu’il en meure mais on a sagement remplacé l’image de la réalité par une autre image plus floue. Vertueuse. Morale. Éthique.
Des mots.
Des chansons.
Dans les grands magasins, les employés se réunissaient avant
d’ouvrir les portes, au début de la journée, pour chanter des hymnes à
l’entreprise, au fondateur.
Ce qu’on faisait en Corée du Nord.
Tous les contours abrupts, coupants, pointus, horriblement
lourds sont émoussés. Pas vraiment parce que c’est impossible. La matière de la
réalité, son matériau ne s’entame pas si facilement.
Il ne faut même pas essayer. Suffit de toucher pour être
blessé. Le contact peut même être mortel.
Mais il suffit de garder ses distances, de ne jamais
l’approcher ou la toucher.
Il suffira d’en penser quelque chose. Que cette image au
contour indistinct se superpose.
Et on peut passer ainsi une vie dans un simulacre.
Et le système vous prend en charge de la naissance à la
mort. Vous surveille, vous contrôle, vous punit ou menace de vous punir. Des
milliers de gens sont chargés de cette punition.
Intellectuelle, mentale, spirituelle, physique, financière, mortelle.
Intellectuelle, mentale, spirituelle, physique, financière, mortelle.
L’exemple de celui qui subira sa punition servira d’éducation
aux autres comme dans le passé lorsqu’on ouvrait le ventre des condamnés
hurlant ou les arrachant par morceaux avec des chevaux.
Ceux qui dirigent ont toujours su se faire obéir.
Mais le temps qui passe amène l’ennui.
Imprudamment, Sherlock Holmes ouvre la radio.
Il n’aurait pas dû.
Mais respirer et écouter son sang battre dans ses temps est
si ennuyant.
Encore une fois, la réalité va entrer chez lui et le hanter.
Et, encore une fois, son esprit sans qu’il puisse l’en
empêcher va défaire cette réalité en ses pièces élémentaires qui ont servi à
d’autres représentations de la réalité et serviront à d’autres. Tout n’est que
recyclage. Tout change sans cesse mais demeure immobile. S’agite parce qu’il y
a du vent ou de la marée. Ou un ravin.
Encore un attentat.
En France.
CE QUI SERA L'AFFAIRE DE CHARLIE HEBDO
CE QUI SERA L'AFFAIRE DE CHARLIE HEBDO
On décrit puis cesse de le faire. Et on reprend la
description sous un autre angle – comme on dit dans le journalisme – un angle -
personne ne fait la synthèse. Toujours des angles. Des biais. Lorsqu’on
reparle, c’est un autre morceau du casse-tête qui apparaît. Et tout le monde
semble content.
On ne présente donc que des objets luisants et lumineux. Miroitant.
Le miroir à perruche.
Ses petits grelots. Et ses petits cerceaux de plastique colorés.
Ses petits grelots. Et ses petits cerceaux de plastique colorés.
Synthétiser est mortel pour la représentation de la réalité.
Le spectacle ne supporte pas la simplification.
Il est fait pour être vu de très loin. Et nommé comme de la
peinture par numéro.
Il n’était pas surpris de cette affaire.
Les autorités du système, les manipulateurs ne cessent de
dire qu’il va y en avoir. Qu’il pourrait en avoir plus. On dirait qu’ils les
espèrent. Ce qui est le cas.
Donc les gens s’y attendent. Même s’ils sont surpris
lorsqu’ils se produisent.
Comme d’habitude, ils sont incapables de penser longtemps et
de garder dans leur esprit une idée pour en faire le tour.
Pour se demander ce qu’ils voient. Ce qu’on leur montre,
leur présente, la façon dont on leur décrit ce qu’ils doivent penser.
Je vois quelque chose mais qu’est-ce que c’est?
On me décrit quelque chose mais pourquoi ces mots ?
Aurait-on pu en utiliser d’autres?
Et que ce passerait-il s’il y avait d’autres mots?
Peut-on en utiliser moins?
Tous ces morts pour rien.
Mais si on connaît les humains, dès qu'on mêle religion,
politique et connerie ...
Et malgré lui, Sherlock Holmes se met à penser
Il sait qu’il ne devrait pas
Que ce qu’il verra du spectacle des hommes, de leurs
misérables et pitoyables idées sera blessant, affligeant, horrible.
Qu’encore une fois il ne s’en sortira pas intact.
Mais
Et
Et comme une scie, une perceuse, une flamme à souder, son
esprit traverse le spectacle.
Et les morceaux épars des textes se mettront en place.
Et les morceaux épars des textes se mettront en place.
Les mots qui ne devraient pas y être seront révélés.
Des phrases révélatrices échappées dans le flot de mots et
de sentiments verbeux.
Les objets des images qui sont là parce qu’on les a oublié,
qu’on n’a pas fait attention, seront vus.
Il fait un résumé de l'affaire et ce qu’il en en pense en ce
moment.
Il aurait pu penser davantage mais ça suffira pour le
moment.
Ce qu’on montre.
La liberté de parole, de penser, de dessiner est attaquée
par des maniaques religieux.
Il y a des morts.
Les victimes innocentes de la liberté d’expression et du
droit de parole.
Le sens qui est donné à l’affaire. Et que le public de ce
petit théâtre perçoit.
Mais
Mais s’il y avait un autre sens
Si les victimes tout en demeurant victimes étaient décédées
d’une autre cause, dans un autre but.
Si le sort des victimes tout en demeurant scandaleux
l’aurait été davantage si on avait ajouté encore des explications au lieu de
répéter sans cesse les mêmes
Il faut savoir
La liberté de presse ou d'opinion est très récente en
France.
Contrairement à ce qu'on dit. Il n’y a pas si longtemps, on
emprisonnait. Avant, on tuait.
Comme on le fait partout dans le monde. Pour blasphème.
Comme on le fait partout dans le monde. Pour blasphème.
Ou on torturait atrocement
Au Québec de la colonie, on coupait la langue du
blasphémateur
Ce que font d’autres, ailleurs, n’est que ce faisaient les
donneurs de leçons modernes qui se prétendent civilisés alors que c’est depuis
si peu de temps.
Les autres ne font que ce qui était normal partout, il y a 1
siècle. Ou 3.
Religion. État. Finance. Armée.
Meurtres.
Crever les yeux.
Crucifier.
Couper les têtes.
Toute puissance déteste qu’on la contredise ou se moque
d’elle.
Dans ce cas, l’animal furieux tue.
Le système a imaginé une forme de gouvernement qu’on nomme
démocratie où on fait croire aux gens qu’ils participent à leur propre
exploitation. Que c’est leur volonté qu’on les exploite. Que c’est naturel. Que
la nécessité impose certaines choses mais que c’est moins pire puisqu’ils le
décident ou leurs représentants.
Parce que les femmes ont pour unique fantasme d’être
violées. Elles l’exigent. C’est leur sort naturel et normal.
Encore le jeu d’ombres, les reflets du miroir.
Le pouvoir tue.
Et ceux qui veulent le pouvoir tuent aussi.
Qui tuera le plus ou le mieux, juste ce qu’il faut ou plus
que nécessaire, règnera.
Et ses serviteurs feront oublier ce qui fut nécessaire.
Se souvenir sera un crime.
Et les puissances du monde sont en concurrence.
Chacun se combat par ses meurtres.
Ceux qui étaient morts ce jour étaient des membres de
l’équipe d’un journal satirique.
Ce qui était tout à fait absurde quand on y pensait.
Il ne fallait donc pas y penser.
Il connaissait le journal qui avait été attaqué. Charlie
Hebdo. Le lisait parfois. Comme il lisait tout ce qui passait à sa portée
lorsqu’il se remettait à vivre. Sortant de son tombeau.
L’État français qui se prétendait maintenant défenseur de la
liberté était le même qui, peu importe le régime, avait censuré sans cesse,
interdit cette publication, poursuivi ses fabricants et les avaient finalement
ruinés.
Mais le titre avait survécu. L’ombre de lui-même.
Afin d’éviter que la malédiction étatique ne frappe à
nouveau, on avait épuré les arts et les artistes qui s’en étaient allé
critiquer ailleurs et plus loin.
Et, il y a peu de temps, on avait essayé d’interdire les
spectacles d’un humoriste noir qui ne faisait pas de l’humour et n’était donc
pas drôle selon l’opinion des puissants du moment. Il ne faisait pas rire –
sauf à leur détriment – il faisait de la politique – parce qu’il riait d’eux.
Il fallait le ruiner.
Les tribunaux sont si utiles et nécessaires contre les
ennemis du régime en place.
Procès. Amende. Interdiction de travailler.
On réunira des foules autour des édifices où il essayera
pour le menacer.
On essaya même de le blesser. De le tuer.
Tout ceci était oublié.
PAS QU'ON LUI AVAIT PARDONNÉ
Maintenant même le boss de l'État réclamait le droit de tout dire. Se désolait que des gens soient morts en ayant exercé ce droit. Que l'on voulait enlever à l'autre. Il y a pas longtemps.
IL PARAÎT QUE LES CROCODILES PLEURENT EN MANGEANT.
PAS QU'ON LUI AVAIT PARDONNÉ
Maintenant même le boss de l'État réclamait le droit de tout dire. Se désolait que des gens soient morts en ayant exercé ce droit. Que l'on voulait enlever à l'autre. Il y a pas longtemps.
IL PARAÎT QUE LES CROCODILES PLEURENT EN MANGEANT.
Une nouvelle image d’ami du peuple – du nom de celui qui
guillotinait des milliers de personnes qui avaient des noms démodés. Des
femmes. Des enfants.
Comme les mêmes aimaient soudainement la liberté d’esprit,
de parole, le droit de critiquer, d’être impertinent.
Comme c’était beau à voir.
Il ne fallait pas mettre les anciennes images avec les
nouvelles. Les mots usagés avec les tout nouveaux.
Ce qu’il faisait.
Que l’hypocrisie était fascinante à observer.
Mais que fallait-il penser de ce qui venait de se passer ?
Toutes les courroies de transmission du pouvoir
transportaient la même explication qui se répétait en échos dans le public
terrorisés.
C’aurait pu leur arriver.
Ici aussi ça se passait.
Parce que
Parce qu’il était normal que ça se passe ailleurs. Mais pas
ici. Ce n’était pas normal. Pas dans les normes acceptables.
La scène était absurde, sur la scène, on avait tué des
artistes, des dessinateurs, des humoristes, des clowns.
Hors de la scène on assistait à la représentation
Qui avait intérêt à faire ceci?
Qui avait intérêt à laisser faire ceci ?
La première question était acceptable. Quoiqu’une question,
dans ces circonstances qui exigent le recueillement, était déjà de trop.
Mais le seconde question.
Il ne fallut pas longtemps pour faire rapidement le tour de
l'affaire.
Il y avait sans doute d’autres choses à savoir et à
apprendre mais ce ne serait pas ce jour. Tous les médias répétaient et
copiaient les mêmes textes et les mêmes images.
Le sens était en train de se former.
On présenterait finalement l'affaire comme une atteinte à la
liberté d'expression.
Doit-on caricaturer
tout le monde ?
Et le dieu de tout le monde.
Fanatisme religieux ?
Pourquoi chercher plus loin ?
On ne cherchera donc pas plus loin.
Des victimes innocentes sur l’autel de la liberté.
Quelques délirants sincères serviraient même la sauce du
plat en disant que les artisans du journal avait presque mérité leur sort, la
colère divine s’étant abattu sur eux, car ce sont eux qui avaient été
fanatiques ou au moins impoli en ne respectant pas la liberté de religion des
autres. En se moquant de leurs dieux.
Ils avaient donc menacé la paix sociale et le fragile
équilibre de la société.
Mais le journal Charlie Hebdo était bien gentil. Un peu
comme Gérard D Laflaque.
Caricaturant tout le monde et les musulmans mais pas Israël ni les juifs. Le patron n'aimait pas ça. Très ami de l’ancien président Sarkozy. Comme de tous les riches et les puissants.
Caricaturant tout le monde et les musulmans mais pas Israël ni les juifs. Le patron n'aimait pas ça. Très ami de l’ancien président Sarkozy. Comme de tous les riches et les puissants.
On avait éjecté quelques mauvais plaisants qui plaisantaient
mal.
La liberté de parole a toujours un juge sourcilleux.
Mais il suffira d’en dire du bien après chaque exécution
financière.
Si l’ancien président était une fripouille hystérique, le
nouveau n’était pas mieux. Sauf qu’il était plutôt du genre dépressif et
amorphe.
Un supposé socialiste détestant les pauvres.
Dans un parti socialiste rempli d’amis des riches et
d’ambitieux voulant devenir ami des riches et d’intellectuels organiques
expliquant pourquoi il fallait aimer les riches. Chaque parti étant colonisé
par le système. Les banques et les milliardaires. Les prêtres sacrificateurs
incas, maya ou aztèques.
Comme le parti québécois ici, il ne reste que le nom pour
décrire ce que ça a été ou ce que ça aurait pu être. Une autre imitation.
Comme le Labour Party en Angleterre, qui autrefois, avait
défendu les travailleurs et les syndicats mais étaient devenus «réaliste» dans
son amour des riches. Et leur protection.
Et dans l’idéal de bombarder les pauvres partout dans le
monde.
Spectacle de marionnettes sinistres.
L’opposition politique n’était qu’un simulacre. Chaque parti
ayant été pénétré et fécondé par les mêmes virus bancaires.
Il y avait déjà une explication officielle.
L'explication officielle: des musulmans fanatiques
susceptibles scandalisés se vengeant
Une des explications possibles allait devenir la seule
explication présentable.
On évitera donc de penser plus loin puisqu’il y a déjà une
pensée.
Ou quelque chose du genre.
Pourtant il y aurait eu tant de questions.
Toutes aussi impolies et imprésentables qu’un SDF dans un
dîner blanc.
Pourquoi pas contre des journaux influents: le Monde?
Ou l'immeuble d'une institution.
Ou le gouvernement.
Sur l'armée?
Une banque. La Bourse.
Et si on visait des civils innocents.
Une bombe dans le métro.
Si on parle d’un ennemi et c’est ceci que l’on décrit –
pourquoi cet ennemi ne cherche pas à faire le plus de dégâts possible?
Et cet ennemi, étrangement, est soucieux de ne pas nuire. Il
se vengera. Pas souvent. Et quand il le fera ce sera par quelques morts.
Et même cette explication ne surnagera pas.
Ce seront des fous, influencés par des fous, des fous
lointains.
Et, pourtant, l’explication précédente ou celle d’avant
était bien. Il y avait comme une logique.
Après tout la France est en guerre. Comme le Canada. Depuis
des décennies.
Des centaines de milliers de morts, de blessés, d’infirmes,
de veuves, de veufs, d’orphelins et d’orphelines, de bébés estropiés et morts.
Ou crevant de soif ou de faim.
Au total des millions.
Et jamais ces ennemis ne se sont vengés.
Pourtant dans les lois de la guerre, ils en avaient tout à
fait le droit. Quoique ce droit puisse être déplaisait.
Ainsi, il aurait été tout à fait normal qu’au Canada, il y
ait 100 000 morts.
Aux USA, au moins 1 million.
En Angleterre, en France, en Allemagne, des centaines de
milliers.
Si on n’avait pas les moyens ou les connaissances d’envoyer
un missile ou des bombardiers, on aurait pu faire sauter le métro. Des trains
de passagers. Des centrales nucléaires.
Mais non.
Il y avait quelque chose d’indécent dans cette discrétion et
cette douceur.
Il aurait été tout à fait normal de voir ou de marcher sur
ou au-dessus ou autour de femmes éventrées, brûlées vives, de bébés hurlant
abandonnés de tous et crevant de faim – parce qu’on n’a pas que ça à faire de
s’occuper des bébés sans jambes ou sans bras – et tous ces hurlements qui vous
empêchent de dormir.
Il aurait normal de marcher dans les ruines des rues
encombrées des débris de béton des immeubles rasés.
Et lorsqu’on se couchait dans la cave de notre immeuble, se
demander si l’immeuble nous aurait écrasé pendant la nuit. Quoique cette
question est tout à fait scolaire parce que l’immeuble nous écrasant nous
épargnerait ce genre de questions. Et l’incendie provoquée par les bombes
incendiaires absorberait l’air environnant et celui dans nos poumons, ferait se
coller les parois des poumons nous faisant mourir dans d’atroces souffrances.
Mais comme des milliers de tonnes de béton nous tomberait dessus au même
moment, on n’aurait pas trop le temps de s’Inquiéter. D’où une sorte de
quiétude et de paix dans l’agonie. Quoiqu’il se peuvent que ce ne soit pas si
simple.
Bref, le carnage manquait.
Les nations Occidentales coalisées bombardaient, écrasaient,
humiliaient sans cesse les plus faibles. Comme le petit voyou de l’école viole
la grosse LULU dans les toilettes de l’école.
Mais elle avait bien mérité son sort en naissant un peu demeurée. Quelle idée ! Il y a bien des gens q qui ne font qu’attirer le malheur sur eux. Et nuire à la réputation de leur école.
Mais elle avait bien mérité son sort en naissant un peu demeurée. Quelle idée ! Il y a bien des gens q qui ne font qu’attirer le malheur sur eux. Et nuire à la réputation de leur école.
Bref, on s’ennuie du carnage.
Il y avait quelque chose d’anormal à être aussi chanceux.
Les anciens auraient prédit qu’une catastrophe allait frapper.
Mais si catastrophe il y eut, elle fut petite et ne frappa
qu’un cirque d’humoristes.
L’idée était entêtante
On attaque la Yougoslavie, l’Irak, l’Afghanistan, la Lybie,
la Syrie et on s’imagine qu’aucun de ces pays ne contreattaquera. Ne cherchera
à se venger.
Jusqu’où peut aller la stupidité.
Et ce stupide peuple encourageait les psychopathes qui le
dirigeaient qui pourtant n’avaient nul besoin d’encouragement.
Comme on disait : que le sang de mon frère retombe sur
ma tête. Ou la tienne. Ou celle du voisin.
Normalement, on devrait voir des milliers d’enfants avec une
jambe en moins, sautant sur une béquille de bois ou faites avec des bouts de vélo.
Ou des aveugles.
DES ENFANTS AVEUGLES PARCE QU'ON BOMBARDE LES ÉCOLES
DES ENFANTS AVEUGLES PARCE QU'ON BOMBARDE LES ÉCOLES
Ou des femmes défigurées par le phosphore.
C’est inimaginable parce que ce sont des pays du
Tiers-Monde.
On les a attaqué précisément on ne dira pas justement parce
que le mot a trop de sens parasites et déplaisants – parce qu’on croit qu’ils
sont sans défense.
Et ils ont prouvé qu’ils étaient sans défense.
Ce qui fait qu’on les attaque encore.
2 fois l’Irak.
Combien de fois la Syrie?
Comme les mauvaises actions demeurent impunies, les
maniaques qui s’imaginent que rien n’est à leur épreuve ou ne leur résistera,
sont prêts à s’en prendre à la Russie.
Il y a déjà eu une fable avec une grenouille.
L’Enfer est pavé de bonnes intentions. Dit-on. Mais aussi de
mauvaises.
Donc dans cette affaire quelque chose ne va pas. N’est pas à
sa place.
Si on suppose encore qu’il y a des ennemis en présence. Que
le combat est mortel et non un simulacre. Une autre apparence.
Comme
Comme si on avait minutieusement choisi la cible la plus
inoffensive.
Et cette idée il faut la répéter parce qu’elle hante. On ne
la répétera jamais suffisamment.
Parce que.
Il fallait peut-être qu'elle soit à la fois inoffensive mais
significative. Que ça fasse du sens.
Parce que
On aurait pu faire sauter des femmes dans un restaurant - on
l'a déjà fait - mais il fallait éviter peut-être d'effrayer le public - pour le
moment -
Lorsque la nécessité deviendra indispensable – le système
s’en prendra au public. On les exploite déjà. On prend leur vie et leur temps
et leur énergie. On prendra leur mort.
Futur ?
On peut imaginer parce qu’on n’a pas accès à ces esprits
malades – on peut imaginer que chacun y trouve son intérêt.
Que la suite des choses est déjà envisagée.
Futur
Remise au pas.
Formule nazi.
Remise au pas des libres-penseurs.
Qui pensent mal.
Qui s’imaginent qu’ils peuvent penser sans frein, ni licou,
ni mors.
Qui ne pensent pas toujours aux conséquences de leurs
paroles - ce qui permettra à l'État de surveiller davantage les médias pour
éviter de reprovoquer un tel drame. Pour le bien de tous.
Parce que, si on y pense bien, et on y pensera pour vous, ce
qui vient de se passer, aussi déplorable que ça ait pu être, est un peu de leur
faute.
Récoltera la tempête. Comme on dit.
Et c’est un mauvais exemple à donner aux enfants de ne pas
respecter les institutions et les sages personnes qui les sauvegardent.
Vous voyez quelles ont été les conséquences de vos abus de
langage et de dessins. On ne peut vous laisser dessiner impunément. Vous ne
savez pas ce que vous faites.
L’État pourra bombarder qui il voudra dans le monde sans se
soucier des conséquences.
Mais le dessin et les crayons sont des armes de destruction
massive sur son sol.
Chacun son histoire.
Et pour le public lettré ou les intellectuels, c'est le
scandale des artistes intello martyrs des obscurantistes.
Mais dans quel monde vivons-nous où des gens crédules
croient encore à un dieu ?
Et on les nommera.
On les cherchera
Il y a des partis concurrents qui dénonceront la menace des
immigrés.
On pourrait empêcher que d’autres de leurs semblables
n’entrent dans le territoire national avant d’expulser le surnombre de ceux qui
sont déjà ici et ne devrait pas y être.
Il faudrait de nouvelles lois. D’excellents règlements.
EXPLICATIONS
Mais il y en a bien d'autres.
Comme le remarque un lecteur de CBC. En donnant des liens.
FRANCE: APRÈS L'ASSEMBLÉE NATIONALE, LE SÉNAT RECONNAIT L'ÉTAT
PALESTINIEN
«Pour le ministre des Affaires étrangères israélien, Avigdor
Lieberman, ce vote "ne fait qu'éloigner la paix". (…) commenté (…)
résolution demandant "la reconnaissance de l'État de Palestine par la
France et une reprise sans délai " des négociations
israélo-palestiniennes: " La décision élimine la chance de faire avancer
un accord de paix et envoie le mauvais message aux Palestiniens qui ne sont pas
prêts à suivre la voie des négociations "
Pourquoi pas cette explication ? Elle est jolie.
Ce ne serait pas le premier attentat en France dirigé de
longue main par des puissances étrangères pour des raisons politiques. Un
avertissement.
Anciennement, on faisait sauter des civils dans un
restaurant. Et il y a longtemps que ce n’est pas arrivé.
Seul des gens des services secrets racontaient longtemps
après le fait ce qui s'était passé. Les menaces reçues. Ne faites pas ceci. Si
vous recommencez, on en fait sauter d'autres. Vous avez recommencé. On vous
l’avait bien dit.
Sherlock Holmes lisait tout et se souvenait.
Certaines nations, bien avant la guerre et pour éviter
celle-ci, dialogue par cadavres.
L'État ne peut surveiller tous les bars. Les magasins.
L’autre sait très bien que l’État ne peut surveiller tous
les bars. Les magasins. Le métro. Les trains. Les autobus.
CONCLUSION
On peut conclure que les fanatiques peuvent faire ce qu'ils
veulent comme n'importe quel maniaque.
Et ce sera une excellente conclusion.
Une conclusion tout à fait logique ainsi que le veut la
raison la plus exigeante.
CONCLUSION
On peut conclure aussi que personne ne peut rien contre les
terroristes - ce qu'on évitera de dire au bon peuple.
Au contraire, on lui dira qu’on veille. Et qu’on veillerait
encore mieux s’il avait moins de droit et cessait d’aller n’importe où sans
permission et si on augmentait le budget de la police. Celui des écoutes
clandestines.
CONCLUSION
On peut aussi conclure que peu importe l'augmentation du
budget de la police et des services secrets.
CONCLUSION
On peut conclure que personne ne peut rien contre quelqu'un
qui complote en secret. Et qui attend le bon moment. Et qui ne fait rien.
Parce que le bon moment n’est pas venu.
ON NE PEUT RIEN
À moins de diriger le complot, comme on a vu ici avec les 10
de Toronto.
Du début à la fin, du recrutement à l’arrestation et aux
aveux. Même la fabrication de la bombe. Ou, au moins, réunir ses ingrédients.
On ne conclura pas qu’il faut éviter de bombarder les pays
étrangers. Et que, dorénavant, on ne bombardera plus les étrangers.
PARCE QUE
Sous prétexte de droit de l’homme et de démocratie alors
qu’il s’agit du pétrole à voler.
PARCE QUE
Et parce qu’il s’agit d’obéir à l’empire dont on est une
colonie.
Ce qui est embarrassant lorsqu’on a été soi-même un empire.
Aussi on éviter de penser à ce sujet.
On pourrait aussi penser ceci
Étrangement, malgré tout le désastre que n'importe quel
illuminé peut faire, toutes les occasions possibles de faire le pire, dans la
réalité, il y en a très peu d'horreur.
PARCE QUE C’EST PEUT-ÊTRE PLUS DIFFICILE QU’ON LE PENSE
On évitera aussi de penser
Historiquement, là où il y en a les horreurs les plus
horribles, c'est l'État qui est coupable.
Armée. Police. Tribunaux. Prisons. Camps de concentration.
Armée. Police. Tribunaux. Prisons. Camps de concentration.
Extermination de masse.
Noyades de Nantes.
Crémation de Bretons pour crime de catholicisme.
L’Église, avant, lorsqu’elle était puissante et pouvait de
ce fait abuser de sa puissance, utilisait les mêmes moyens.
Plus récemment, l’État, toujours tueur, tue avec l’aide des
services secrets qui organisent meurtres et horreurs diverses.
Les locaux. Ou les étrangers.
Car avant de faire la guerre, les États tuent à distance
avec parcimonie.
Il y a toujours une menace. Quelqu’un à tuer.
Selon les témoignages des agents retraités.
Et il n'y a pas eu que l'Algérie.
L’État communique avec le meurtre.
Lorsque les mots sont insuffisants.
Et les pires horreurs, les crimes contre les civils, les
femmes, les enfants, sont faites par les États criminels.
Entre l’État non criminel et l’État criminel, il y a simple
différence d’opacité d e la substance.
ON ÉVITERA DE REMARQUER
On évitera de remarquer que les attentats sont perpétrés non
contre les bureaucrates ou les riches.
On évitera de parler de l’Espagne et du Chili.
Les supposés terroristes fanatiques suceurs de sang ont
fait, historiquement, très peu de victimes.
Les présidents fanatiques, les généraux fanatiques avec
l’aide de bureaucrates fanatiques et de soldats fanatiques ou de policiers
fanatiques ont kidnappé, torturé, assassiné des millions de femmes et d'hommes.
Et les dernières infos au sujet de la CIA et de la torture
nécessaire des suspects ne rassurent pas. Ça continue.
Et les populations informées – même si on a tout fait pour
éviter cette situation – approuvent parce qu’on leur dit que ce qui a été fait
l’a été pour les défendre.
Et comme on croit tout ce qu’on dit.
C’est une variante des soldes.
Quelqu'un disait que l'État est le plus froid des monstres
froids.
Nietzsche
L'État, c'est la bureaucratie, l'armée, la police, les
tribunaux.
Ensuite, c'est l'entreprise privée.
Les riches.
Et, dans l'Histoire, la religion.
Même si ON essaie de nous faire peur avec l'Islam.
Combien ont tué les pires fanatiques ?
Combien ont tué Bush père et fils?
COMPTER SUFFIT COMME EXPLICATION.
Loin derrière, la Mafia et tout ce qui tourne autour.
Le crime monstrueux, le crime de masse a toujours été légal,
légalisé, officiel.
Et des milliers ou millions de gens bien y ont participé
froidement comme un devoir moral, national, pour le bien de l'humanité. Parce
qu'ils avaient reçu des ordres de gens qui avaient reçu des ordres.
POUR LA MORALE.
Il n’y a que quelques maniaques qui tuent par plaisir.
LE CRIME D’ÉTAT, LE CRIME DE MASSE EST UN TRAVAIL SÉRIEUX
QUE L’ON DOIT ENTREPRENDRE SOIGNEUSEMENT
Pour tuer des
milliers, il faut des milliers.
Pour tuer des millions, il faut des millions.
Les crimes individuels, aussi monstrueux soient-ils restent
individuels. Un contre 1.
Rarement plus. Même si ça arrive avec les célèbres tueurs en série. Mais ces monstres, encore une fois, ne sont rien comparés à Staline ou les Espagnols en Amérique du Sud.
Rarement plus. Même si ça arrive avec les célèbres tueurs en série. Mais ces monstres, encore une fois, ne sont rien comparés à Staline ou les Espagnols en Amérique du Sud.
Ou le trafic des esclaves tout à fait officiel qui a duré
des siècles en Occident, des millénaires dans l'Histoire. Et, rien que du côté
Europe/Amérique aurait fait 100 millions de morts.
L'Histoire officielle des professeurs ne racontant que ce
qui est présentable. Des contes pour enfants destiné aux adultes.
Les criminels sont en prison. On vous le dit.
Ceux qui ne sont pas en prison ne sont pas des criminels.
IL SE PEUT
Il se peut que ce soit 3 dérangés.
IL EST PROBABLE
Mais comment sait-on qu'ils sont 3 ?
Tous les médias ont répété les mêmes infos. Qui ne pouvaient
leur parvenir que d’une source officielle. Supposant la police. Qui ne savait
rien. Sinon, elle aurait empêché le crime ou arrêté aussitôt après les
malfaiteurs.
Comme il est arrivé lors du dernier vol de banque dans la
succursale près de chez lui. Les voleurs sont entrés, ont fait coucher tout le
monde à terre. Ont vidé les tiroirs. Et sont partis en auto. Malheureusement
pour eux, toutes les rues étaient bloquées. La police les attendait. Et ils se
sont rendus. Et ils ont passé la soirée en prison.
Et si la police a transmis l’information c’est que quelqu’un
de généralement bien informé le leur a dit.
ET QUI DE MIEUX INFORMÉ QUE CELUI QUI ORGANISE L’ATTENTAT ?
IL Y A QUELQUE CHOSE DE BIBLIQUE LÀ-DEDANS.
MAIS IL Y A LE CHIFFRE TROIS.
À moins que ceux qui ont organisé tout ça, avaient conçu
l'opération avec 3 ont échappé le ballon et que ça a foiré, le troisième a eu
les jetons - ou pissé dans son froc - comme on dit en France - et les 2 autres
ont fait tout le boulot. Tout seul.
Mais on avait déjà laissé couler l'info - qui peut le mieux
«informer» que ceux qui manient les ficelles? Et il a été impossible de
rembobiner le brin de laine tiré dans la balle de laine.
Donc fou ou pas fou ?
Ici, il y a eu Moïse Thériault, l'Ordre du Temple Solaire,
le caporal Lortie. Et les 2 derniers crétins qui ont officié à Ottawa.
Généralement les fous sont asociaux. Ou souvent. Il y a donc
le fait que nous nouveaux fous soient plusieurs. Et bien organisés. Trop bien
organisés. Trop méthodiques. Trop professionnels. Comme si on avait répété
avant.
Sauf que l'erreur étant humaine, on dit qu'ils se sont
trompés d'adresse pour commencer. S'informant poliment, ils sont allés à
l'autre immeuble.
La personne à qui ils avaient poliment demandé l’info les
voyant tout à fait normaux, en cagoule, costume de militaire ou djihadistes
avec kalashnikovs et lance-missiles, des gens bien, au lieu de leur mentir a
cru devoir être sincère.
ON PEUT IMAGINER QU’ELLE A APPELÉ LA POLICE.
ET CES TUEURS SANS PITIÉ NE LA TUERONT PAS POUR QU’ELLE
TÉLÉPHONE À LA POLICE
Les témoignages des policiers disent qu'ils étaient bien
entraînés. Par qui ?
Et, par hasard, il y avait sur le toit de l'immeuble au même
moment des caméramen pour filmer toute l'aventure. Le hasard. Et lorsqu’ils
tueront une seconde fois, ailleurs, il y aura d’autres téléphones pour les
filmer. Ceci est bien. Et excellent.
C'EST TELLEMENT MIEUX QUAND IL Y A DES IMAGES
C'est tellement mieux quand il y a des images. Avec
Internet, on peut les repasser sans fin. Il faut terroriser la ménagère.
«les 3 individus recherchés par la police après l'attentat
survenu ce mercredi matin dans les locaux de Charlie Hebdo ont été identifiés.»
Comment ?
Les 2 seuls qu'on voit ont des cagoules.
Et ½ heure après on donnait les noms. 1 heure après les
photos.
«3 hommes âgés de 18
ans, 32 ans, 34 ans. Les 2 trentenaires, de nationalité française, sont des
frères nés dans le 10e arrondissement de Paris. Ils se prénomment Saïd et
Chérif K.
«La nationalité du plus jeune, Hamyd M., SDF, [mandiant ?]
n'était pas connue. Ce dernier était inscrit en Terminale S en 2014 dans un
lycée de Charleville-Mézieres dans l'académie de Reims
POUR ÊTRE PRÉCIS, C’EST PRÉCIS.
Le mystérieux troisième invisible.
On finira par dire le lendemain que c’était un étudiant
qu’il était à l’école au même moment.
HEUREUSEMENT, LES SERVICES OFFICIELS FONT BIEN LEUR TRAVAIL.
Heureusement, les services officiels font bien leur travail.
Ils n'ont pas pu empêcher le drame.
MAIS
Le suspense n'allait pas durer des jours ou des semaines ou
des mois.
Mais
Après le drame, ils ont enquêté et comme dans tout bon
roman, trouvé des indices, suivi les preuves. Ils ont même perquisitionné les
appartements des suspects.
Sans doute que les fous ont laissé des empreintes partout
même s'ils avaient des gants.
COMME SI ON SAVAIT AVANT MÊME QUE ÇA COMMENCE
Comme si ON savait avant même que ça commence et se termine
qui c'étaient.
Arrangé avec le gars des vues comme on disait.
Donc 3 arabes (?).
On parlera de «loup solitaire».
Comme ici. Ou d'une meute. Attendant dans l'ombre. On parlera bientôt de réchauffer des vipères sur son sein. Expression autrefois très utilisée. Ou d'étrangers inassimilables. Apatrides. Mais pas juifs. Aujourd'hui, il faut d'autres ennemis.
Comme ici. Ou d'une meute. Attendant dans l'ombre. On parlera bientôt de réchauffer des vipères sur son sein. Expression autrefois très utilisée. Ou d'étrangers inassimilables. Apatrides. Mais pas juifs. Aujourd'hui, il faut d'autres ennemis.
« CHARLIE HEBDO » : LE FILM DES ÉVÉNEMENTS
Le Monde.fr | 07.01.2015
DÉCOMPTE DES VICTIMES
«12 personnes - 2 policiers, un invité, 8 journalistes et un
employé d'entretien de l'immeuble - sont mortes et 8 autres ont été blessées
mercredi, lors d'une attaque à l'arme automatique et au lance-roquettes
ET AU LANCE-ROQUETTES
Il y a plusieurs textes qui parle de lance-roquette mais on
ne le voit pas sur les images
Encore le lendemain on parlera de lance-roquette
Le Monde parle de 2 tueurs armés de fusils d'assaut.
Facile à trouver en France!
Où est le troisième ?
Le chauffeur ?
Sur le film du Monde, on dirait des Kalashnikov.
« J'étais allée chercher ma fille à la garderie, en arrivant
devant la porte de l'immeuble du journal deux hommes cagoulés et armés nous ont
brutalement menacées. Ils voulaient entrer, monter. J'ai tapé le code.
«Ils ont tiré sur Wolinski, Cabu... ça a duré 5 minutes...
«Je m'étais réfugiée sous un bureau...
«Ils parlaient parfaitement le français... Se revendiquait
d'Al-Qaïda ».
Ils ont tiré partout dans ce qu'on décrit comme une orgie de
meurtre mais non sur cette femme qui leur ouvre la porte et pas sur sa
fillette. Après qu’ils aient été chez le
voisin parce qu’ils n’avaient aucune idée où ils allaient. N’ayant pas pensé
repérer les lieux avant.
COMME SI ON LEUR AVAIT OÙ ALLER
Et qu'ils semblent avoir laissé se cacher sous un bureau
pour qu'elle voit, entende et témoigne.
Des humanistes ?
«Saïd et Cherif K, âgés respectivement de 32 et 34 ans,
auraient été reconnus par la carte d'identité retrouvée par les enquêteurs dans
la Citroën C3 abandonnée dans leur fuite près de la Porte de Pantin.
Comme c'est pratique. Que c'est beau.
Une journaliste française enthousiaste disait
aujourd’hui : c’est extraordinaire, n’est-ce pas !?
OUI C’EST EXTRAORDINAIRE.
LA carte d'identité permet de reconnaître 2 hommes.
Des siamois.
C'est comme le passeport d'un des passagers dont l'avion
était entré dans un immeuble du World Trade Center qu'on a trouvé sur la pile de débris fumant de
l'immeuble effondré. Intact. Ce qui semble tout à fait normal aux spécialistes
qui nous informent. Vous voyez, il était bien dans l'avion. On a une preuve. Le
pauvre homme. Il a lancé son passeport par le hublot comme une bouteille que
l’on lance à la mer.
OUI C’EST EXTRAORDINAIRE.
Ils sont cagoulés. Mais échappent leur papier.
AU MOINS UN.
Oh! L'un des 2 (on n'en voit toujours que 2) après avoir tué
le flic sur le trottoir, perd son espadrille et la ramasse et la jette dans
leur auto.
LA NERVOSITÉ SANS DOUTE
«Leur complice, Amid M, qui leur aurait servi de chauffeur
dans leur équipée sanglante serait un SDF de 18 ans.
LE TROISIÈME
Comment on le sait ?
Pourtant dans la vidéo, on ne voit pas de chauffeur. Les 2
portes avant sont ouvertes pour laisser passer les 2 tueurs lorsqu'ils tuent le
flic !!! Siège avant droite. Siège avant gauche.
«2 suspects franco-algériens issus de Pantin, et revenus de
Syrie cet été
PUISQU’ON VOUS LE DIT
Tous les symptôme de l'infection sont là.
ON VOUS L'A DIT
ON VOUS L'A DIT
«L'un des 2 suspects a été jugé en 2008 dans le cadre du
démantèlement de la filière irakienne dite du "19 ème arrondissement"
de Paris. Il avait alors déclaré "avant, j'étais un délinquant. Mais après
(mon entrée dans la religion, NDLR), j'avais la pêche, je ne calculais même pas
que je pouvais mourir". Il avait été interpellé en 2005, alors qu'il
s'apprêtait à partir pour Damas.
Tout ceci ressemble à de la manipulation. Dans le genre: tu
as un gros dossier, tu n'as pas d'avenir. Mais si tu nous rends un service.
Comme pour les 10 de Toronto. Au procès du avoue, ceci clôt
l’affaire et évite les questions embarrassantes sur leur agent manipulateur. Leur
agent contrôleur. Et la personne source.
PLEA BARGAINING
Il se peut que ce soit un des leurs manipulés par les
services qui a servi d'intermédiaire. Lui-aussi ayant des choses à se faire
pardonner. Ceux qui manipulent restent dans l'ombre. Il recrute les brebis
égarées et leur propose de punir les mécréants.
Ils ne demandent pas mieux puisque c'est ce qu'ils voulaient
faire - selon la version officielle - lorsqu'on les avait arrêtés. Mais ils ne
savaient comment faire. Aussi il a fallu les aider.
Les mosquées sont pleines d’égarés, d’esprits vides
attendant qu’on vienne semer à l’intérieur la graine dodue qui donnera une
moisson fertile. La police est là et les services secrets sont là qui prennent
des noms. Font des listes.
L’EXPLICATION OFFICIELLE
Encore ces inadaptés recrutés par les Djihadistes par
Internet ?
Un jour, on demandera la censure d'Internet.
DES CITATIONS
«Le mode opératoire des tueurs impliqués dans l'attentat
contre Charlie-Hebdo, leur calme, leur détermination et leur efficacité, est la
marque d'hommes ayant subi un entraînement poussé, de type militaire, selon des
sources policières.
«Les images, prises grâce aux téléphones portables de
témoins de l'attaque, montrent le professionnalisme des assaillants qui ont
mené une attaque soigneusement planifiée, soulignent un ancien membre d'un
service de protection rapprochée et un ancien de la police judiciaire.
"On le voit clairement à la façon dont ils tiennent
leurs armes, dont ils progressent calmement, froidement.
«Ils ont forcément reçu une formation de type militaire.
« Ce ne sont pas des illuminés qui ont agi sur un coup de
tête", assure l'un des policiers.
«Il souligne qu'ils tiennent leurs kalachnikovs serrées près
du corps, tirent au coup par coup et non par rafales, ce qui démontre qu'ils
ont été entraînés à s'en servir.
«Selon l'autre policier, ancien de la police judiciaire,
"le plus frappant, c'est leur sang-froid. Ils ont été entraînés en Syrie,
en Irak ou ailleurs, peut-être même en France, mais, ce qui est sûr, c'est
qu'ils ont été entraînés."
En France ! Bientôt on nous dira qu'il y a des bases
clandestines.
DES CITATIONS EN ANGLAIS
«the men also spoke flawless, unaccented French in the
military-style noon-time attack on the weekly newspaper Charlie Hebdo
«Clad all in black with hoods and carrying assault rifles,
the attackers forced one of the cartoonists arriving at the office building
with her young daughter to open the door with a security code.
«The staff was in an editorial meeting and the gunmen headed
straight for the paper's editor, Stéphane Charbonnier — widely known by his pen
name Charb — killing him and his police bodyguard first, said Christophe
Crepin, a police union spokesman.
«Minutes later, two men strolled out to a black car waiting
below, calmly firing on a police officer, with one gunman shooting him in the
head as he writhed on the ground,
«The witness (...) said the attackers were so methodical he
first mistook them for France's elite anti-terrorism forces.
«"They knew exactly what they had to do and exactly
where to shoot.
«While one kept watch and checked that the traffic was good
for them, the other one delivered the final coup de grâce,"
"I think they were extremely well-trained,
«The security analyst group Stratfor said the gunmen
appeared to be well-trained, "from the way they handled their weapons,
moved and shot.
«These attackers conducted a successful attack, using what
they knew, instead of attempting to conduct an attack beyond their capability,
failing as a result
ON APPREND QU’AL-QAEDA A UN SITE INTERNET ET UN MAGAZINE.
QUALITÉ PROFESSIONNELLE. NORME OCCIDENTALE. ET NON ARTISANALEMENT FLEURIE COMME
EN ORIENT. PROBABLEMENT CONÇU DANS UNE AGENCE DE COM DE NEW-YORK. COMME LES
INFOS DES RÉVOLUTIONS ORANGES ET DES PRINTEMPS ARABES.
«In the winter 2014 edition of the al-Qaeda magazine
Inspire, a so-called chief describing where to use a new bomb said: "Of
course the first priority and the main focus should be on America, then the
United Kingdom, then France and so on."»
Intéressant. Qui s'appelle Inspire.
INSPIRE
«In 2013, the magazine specifically threatened Charb and
included an article titled "France the Imbecile Invader."
«An al-Qaeda tweeter who communicated Wednesday with the
Associated Press said the group is not claiming responsibility, but called the
attack "inspiring."
Et les mystérieux terroristes Syriens du Califat ont une
boutique où ils vendent des T-shirt et des tasses à leur nom. Et une revue
aussi.
DABIQ
COMMENTAIRES DU PEUPLE. CBC
«Charb, said earlier, after receiving death threats from
islamists: "I am not afraid of retaliation. I have no kids, no wife, no
car, no credit. It perhaps sounds a bit pompous, but I prefer to die standing
than living on my knees."
«The execution and well-planned escape makes me consider
another group of fanatics skilled in terror attacks, think Lavon Affair, USS
LIBERTY.
« This attack while atrocious, conveniently serves the
agenda of our ally in the middle east, in the light of the recent votes from
France to grant Palestine increased presence at the UN. I do not suggest that
our ally, the only democracy in the middle east, is behind the attack, but
there are many who believe (not without some grounds - see several incidents at
the Syrian border) that ISIS are funded and/or supplied intel by our greatest
ally in the region. Given that nation's history of false flag operations (one
famous case in which their assassins committed murder while travelling with
Canadian passports), it may be impossible to fully assuage suspicions of their
involvement.
LES PASSEPORTS CANADIENS DES ESPIONS JUIFS
Les vrais/faux passeports ayant été fournis par l'État
Canadien.
ET IL Y A ENCORE PLUS BEAU
«Selon des sources d'AFP, une dizaine de cocktails Molotov, 2
drapeaux djihadistes et la carte d'identité d'un des suspects ont été retrouvés
dans la Citroën.
PARFOIS ON REPARLE DU LANCE-ROQUETTES.
C'EST PESANT ET LONG UN LANCE ROQUETTES. ET IL Y A LES ROQUETTES EN PLUS. COMBIEN ? C'EST PESANT ET LONG DES ROQUETTES.
ET AUCUN DES 2 HOMMES ARMÉES DE KALASH QUI SORT DU LIEU DE L'ATTENTAT N'A DE LANCE-ROQUETTE ET DE ROQUETTES. PEUT-ÊTRE QU'ILS L'ONT LAISSÉ EN GARDE À LA PREMIÈRE ADRESSE OÙ ILS SE SONT PRÉSENTES PAR ERREUR. PARCE QUE C'EST PESANT ET ENCOMBRANT DES ROQUETTES. ON N'EST PAS DES CHIENS.
PARFOIS ON REPARLE DU LANCE-ROQUETTES.
C'EST PESANT ET LONG UN LANCE ROQUETTES. ET IL Y A LES ROQUETTES EN PLUS. COMBIEN ? C'EST PESANT ET LONG DES ROQUETTES.
ET AUCUN DES 2 HOMMES ARMÉES DE KALASH QUI SORT DU LIEU DE L'ATTENTAT N'A DE LANCE-ROQUETTE ET DE ROQUETTES. PEUT-ÊTRE QU'ILS L'ONT LAISSÉ EN GARDE À LA PREMIÈRE ADRESSE OÙ ILS SE SONT PRÉSENTES PAR ERREUR. PARCE QUE C'EST PESANT ET ENCOMBRANT DES ROQUETTES. ON N'EST PAS DES CHIENS.
Pourquoi pas 1 CD de l’hymne national Iranien ?
Ce qui aurait donné un prétexte pour l’envahir ? Ce sera
pour la prochaine fois.
COMME PENSER EST ÉPUISANT, SHERLOCK HOLMES CESSA ENSUITE DE
PENSER ET S’ENDORMIT. S’IL AVAIT PU CONTINUER DE PENSER, IL AURAIT SANS DOUTE
TROUVER AUTRE CHOSE. MAIS C’EST LA VIE.